WHY DR. SYLVIE NKOGHE-MBOT HAS BEEN ARRESTED? POURQUOI LE DR. SYLVIE NKOGHE-MBOT A ÉTÉ ARRÊTÉE?

Dr. Sylvie Nkogue-Mbot

English version

Dr. Sylvie Nkogue-Mbot, following the violence perpetrated against the unarmed people of Gabon, began with colleagues, the constitution of a file cataloging all victims: dead, injured, missing, having been in contact with a medical facility, etc.; so as to present the true facts, with testimonials from witness medics, before all opinions that would be interested. This is, dear readers, what disturbs the Bongo regime, and makes Dr. Sylvie Nkogue-Mbot extremely dangerous for these genocidaires.

For daring to care about the fate of her countrymen, Dr. Sylvie Nkogue-Mbot was kidnapped and taken to the jails of Ali Bongo intelligence services. You imagine what they are doing to her now in terms of physical and psychological torture.

Dear readers, so that Ali Bongo’s crimes do not go unpunished, we must double our efforts in the fight.

We will never give up; 2016 will not be 2009.

Version française

Le Dr. Sylvie Nkogue-Mbot, suite aux violences perpétrées contre le peuple Gabonais désarmés, a entrepris avec des collègues, la constitution d’un dossier cataloguant toutes les victimes : décédées, blessées, disparues, ayant été en contact avec une structure médicale, etc. ; de manière à présenter les faits véridiques, avec témoignages des personnels médicaux traitants, devant toutes les opinions qui s’y intéresseraient. C’est cela chers lecteurs qui dérange le régime Ali Bongo, et qui rend le Dr. Sylvie Nkogue-Mbot extrêmement gênante pour ces génocidaires.

Pour avoir osé s’intéresser au sort qui était réservé à ses compatriotes, Le Dr. Sylvie Nkogue-Mbot a été kidnappée et conduite dans les geôles des services de renseignement d’Ali Bongo. Vous vous imaginez ce qu’ils sont en train de lui faire subir en ce moment comme torture physique et psychologique.

Chers lecteurs, pour que les crimes d'Ali Bongo ne restent pas impunis, nous devons redoubler d’ardeur dans la lutte.

Nous ne lâcherons rien ; 2016 ne sera pas 2009.