ECHOS DU NORD JOURNALISTS WERE SUBJECTED TO TORTURE. LES JOURNALISTES D’ÉCHOS DU NORD AURAIENT SUBI DES TORTURES








English version

During his appearance on the newscast of TV5, Désiré Ename, the boss of Echos du Nord newspaper, who now lives in exile in France, presented pictures of the Deputy Chief Editor of that Journal, taken during her medical examination after her release; which clearly indicated that she, Raïssa Oye-Asseko, had suffered physical abuse that left visible bruising on her body.

Not only the detention of Echos du Nord journalists was illegal, the use of torture during their detention indicates that the regime wanted to use intimidation and violence to force the newspaper to restrict considerably and permanently, its outspokenness and opinion. The bruises on Raïssa Oye-Asseko are the emblems of the most ferocious repression of the regime against the representatives of freedom of opinion.

The arrest of Echos du Nord journalists, and their torture, indicate that Ali Bongo’s regime remains determined not to guarantee in Gabon, the conditions for a real plurality of information. This regime is resolute in the suppression of expression independent of the official discourse.

This blog is delighted to have found that Désiré Ename remained firm in his determination to continue writing and publishing following the precepts of freedom of the press.




Version française

Lors de son passage au journal télévisé de TV5, Désiré Ename, le patron du journal Echos du Nord, qui vit en exil aujourd’hui en France, a présenté des photos de la Rédactrice en Chef Adjointe dudit journal, prises pendant sa visite médicale après sa relaxation ; qui indiquaient clairement que cette dernière, Raïssa Oye-Asseko, avait subi des sévices corporelles qui lui ont laissé des ecchymoses visibles.

Non seulement la détention des journalistes d’Echos du Nord a été illégale, l’utilisation de la torture pendant cette détention indique que le régime tenait à utiliser l’intimidation et la violence, pour forcer cet organe de presse à restreindre de manière considérable et permanente, sa liberté de ton et d’opinion. Les ecchymoses de Raïssa Oye-Asseko sont les emblèmes de la répression la plus féroce du régime contre les représentants d’une liberté d'opinion.

L’arrestation des journalistes d’Echos du Nord, et les tortures subies, indiquent que le régime Ali Bongo reste déterminé à ne pas garantir au Gabon, les conditions d'une réelle pluralité de l'information. Ce régime fait la répression de toute expression indépendante au discours officiel.

Ce de blog est ravi d’avoir constaté que Désiré Ename restait ferme dans sa volonté de continuer à écrire et publier suivant les préceptes de la liberté de la presse.

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