BY WAY OF KENYA, ANGLOPHONE AFRICA AGAIN DEMONSTRATES ITS ADVANCEMENT IN ITS YEARNING FOR DEMOCRACY. PAR LE TRUCHEMENT DU KENYA, L’AFRIQUE ANGLOPHONE DÉMONTRE ENCORE SON AVANCE EN MATIÈRE DE VOLONTÉ DE DÉMOCRATIE








English version

"The presidential election was not conducted in accordance with the Constitution and the result is therefore null and void".

It is through this simple, highly republican phrase that the Supreme Court of Kenya in East Africa, has ordered the Electoral Commission of that country to hold a new election within 60 days in accordance with the Constitution.

We say congratulations to the judges of the Kenyan Supreme Court, because in African’s memory, it is the first time on our continent, that a supreme court has canceled the result of a presidential election, according to the provisions of the law. It is therefore a historic decision which invalidates for irregularities the fraudulent re-election of a president-in-office.

We appreciate this decision better in the Gabonese context, because the Constitutional Court of Gabon endorsed the confiscation by fraud, of power by the Bongo family and any claim on our part, is equated with a death sentence. The Bongo clan has been preventing Gabon for 50 years from maturing and developing, like other African countries have done, especially Anglophones.

With what is happening in Gabon, Cameroon, Congo-Brazzaville, Chad, Togo, and so on, Francophone Africa continues its crazy race towards even more dictatorship, and its French supervisors, who have run out of new ideas, accommodate this situation which promises us with an explosion sooner or later.

Francophone Africa, in its majority, is a disaster area: economic crimes are occurring daily on a large scale, because economic choices made in a country like Gabon do not necessarily obey the development needs of the country, but aim for the enrichment of some lobbies which in return are essential in the process of rooting the dictatorship.

In Gabon, fortunes are invested in useless sectors, shell companies are created in tax havens, to steal from the state; some ministers grant themselves monthly salaries of 500 million CFA francs.

Worse, in Gabon, pseudo-intellectuals on the Bongos payroll, whose sole objective is to carve a place in the sun for themselves, present this way of doing as ideal for the country. The role of these people is to induce as many Gabonese as possible in total error, so that change would not happen in Gabon.

Francophone Africa generally, and mainly its region of Central Africa is completely calcified in political and economic nothingness. The policies practiced there are dictatorial, and the economies of these countries are extractive, that is to say, based on the exploitation of natural resources. This pattern, dear readers, has no future and is doomed to failure!

We will not give up!






Version française

« L’élection présidentielle n’a pas été conduite en accord avec la Constitution et le résultat est donc invalide et nul”.

C’est par cette simple phrase hautement républicaine, que la Cour Suprême du Kenya, en Afrique de l’Est, a ordonné à la Commission Electorale de ce pays, d’organiser un nouveau scrutin dans un délai de 60 jours, conformément à la Constitution.

Nous disons bravo aux juges de la Cour Suprême Kenyane, car de mémoire d’Africain, c’est la première fois sur notre continent, qu’un tribunal suprême annule le résultat d’une élection présidentielle, selon les dispositions de la loi. C’est donc une décision historique qui invalide pour irrégularités la reconduction frauduleuse d’un président en exercice.

Nous apprécions mieux cette décision dans le contexte Gabonais, car la Cour Constitutionnelle du Gabon a entériné la confiscation par voie de fraude, du pouvoir par la famille Bongo et toute revendication de notre part, est assimilée á un arrêt de mort. Le clan Bongo empêche le Gabon depuis 50 ans, de gagner en maturité et en développement, comme le font d’autres pays Africains, surtout anglophones.

Avec ce qui se passe au Gabon, au Cameroun, au Congo-Brazzaville, au Tchad, au Togo etc…, l’Afrique francophone continue sa course folle vers encore plus dictature, et sa tutelle Française, elle aussi essoufflée et à cour d’idée nouvelles salvatrices, s’accommode de cette situation qui nous promet une belle explosion à terme.

L’Afrique francophone dans sa majorité, est une zone sinistrée : les crimes économiques y sont quotidiens, et à grande échelle, car les choix économiques fait dans un pays comme le Gabon n’obéissent pas nécessairement aux besoins de développement du pays, mais plutôt à l’enrichissement de quelques lobbies qui en retour sont essentiels dans le processus d’enracinement de la dictature.

Au Gabon, on investit des fortunes dans des secteurs bidons, on crée des sociétés écrans dans des paradis fiscaux, pour ponctionner l’Etat ; certains ministres s’octroient des salaires mensuels de 500 millions de francs CFA.

Pire, au Gabon, des pseudo-intellectuels à la solde des Bongo, ayant pour seul objectif de se faire une place au soleil, présentent cette façon de faire comme étant idéale pour le pays. Le rôle de ces personnes est de plonger le plus de Gabonais possible dans l’égarement le plus total, afin que le changement n’arrive point au Gabon.

L’Afrique francophone généralement, et principalement sa région d’Afrique Centrale est complètement calcifiée dans un néant politique et économique. Les politiques qui y sont pratiquées sont dictatoriales, et les économies de ces pays sont extractives, c’est-à-dire basées sur l’exploitation des ressources naturelles. Ce schéma, chers lecteurs, n’a pas d’avenir et est voué à l’échec !

On ne lâche rien !

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