GABON IS CAUGHT IN THE INFERNAL SPIRAL OF DEBT. LE GABON EST PRIS DANS LA SPIRALE INFERNALE DE LA DETTE

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English version

The poverty or misery in which the Gabonese people find themselves, will continue over time, because the poor performance of those who lead Gabon will ensure that things remain as such.

When the Gabonese State must borrow 148 billion CFA francs, not to invest in improving the living conditions of the Gabonese people, but in the payment of accumulated arrears of public debt, this means that the Gabonese State has decided to aggravate exponentially the misery of the people.

Indeed, the Gabonese State adds to the public debt by borrowing, but this loan will not solve the pressing problems of the people, on the contrary, this loan will further indebt us. Dear readers, it's serious!

This is what happens when you have leaders motivated not by the desire to promote the economic and social progress of their country and population, but by a single ambition of personal profit and family security.

The public debt must eventually be reimbursed by everyone. So it is a national burden that is bequeathed by the current generation leading the country, to the posterity of the country. Each CFA franc borrowed is like a heavy load that every Gabonese must carry on their shoulders; and this heavy load slows their economic and social rise.

If at least the state went into debt to leave to the next generations a good system of education and health, one would understand. But when the debt is only used to repay other debts, it produces a multiplier effect of this debt without any new investment in the country.

We will not give up!

Version française

La pauvreté ou la misère dans lesquelles sont plongés les Gabonais, vont perdurer dans le temps, car les faibles performances de ceux qui dirigent le Gabon feront en sorte que les choses en restent ainsi.

Quand l’Etat Gabonais doit emprunter 148 Milliards de francs CFA, non pas pour investir dans l’amélioration des conditions de vie des Gabonais, mais dans le paiement des arriérés accumulés de la dette publique, c’est que l’Etat Gabonais a décidé d’aggraver de manière exponentielle, la misère du peuple.

En effet, L’Etat Gabonais ajoute à la dette publique en empruntant, mais ce prêt ne résoudra en rien les problèmes pressant des Gabonais, au contraire, cet emprunt va encore plus nous endetter. Chers lecteurs, c’est grave !

Voici ce qui arrive quand on a des dirigeants motivés non pas par le souci de promouvoir le progrès économique et social de leur pays et population, mais par une seule ambition fortement tourné vers le profit et la sécurité personnelle et familiale.

La dette publique doit être, à terme, remboursée par tout le monde. C’est donc est un fardeau national qui est légué par la génération aux affaires en ce moment, à la postérité du pays. Chaque franc CFA emprunté est comme une lourde charge que doit porter chaque Gabonais sur ses épaules ; et cette lourde charge ralenti son ascension économique et sociale.

Si au moins l’Etat s’endettait pour laisser aux générations suivantes un bon système d’éducation et de sante, on comprendrait. Mais quand la dette ne sert qu’à rembourser d’autres dettes, cela produit un effet multiplicateur de cette dette sans qu’aucun nouvel investissement ne se produise dans le pays.

On ne lâche rien !