WHEN YOU CAN'T EXPLAIN ANYTHING TO THE PEOPLE, YOU DANCE! ISN'T IT PRESIDENT FLAVOR FLAV ? QUAND ON NE PEUT RIEN EXPLIQUER AU PEUPLE, ON DANSE! N’EST-CE PAS PRÉSIDENT FLAVOR FLAV ?
English version
Max Weber, the German Sociologist, studied the mechanisms of political and social domination in the German society. He came to the conclusion that domination of a people is composed of these elements: Bureaucratism, Patrimonialism, Feudalism, Charismatism and Hierarchy.
1
To dominate a people, a dictator needs a strong
bureaucracy that would translate the dictator's orders and policies into
concrete actions across the state. Without a functioning bureaucracy, the
dictator's directives would lack the necessary organization and manpower for
implementation. A strong bureaucracy provides the dictator with a structure to
exert control over various aspects of the state, including the economy,
security, and social services. Loyal bureaucrats in key positions ensure that
the dictator's will is carried out and that any potential opposition is managed
or suppressed.
2
To dominate a people, patrimonialism is
necessary because it inherently concentrates power in the hands of a single
leader or a small elite who are personally loyal to them. This reduces the
potential for checks and balances or organized opposition. By fostering
personal loyalty through patronage, rewards, and the blurring of public and
private spheres, the dictator creates a network of individuals who are
dependent on their continued rule. In a patrimonial system, state resources are
often treated as the ruler's personal assets. This allows them to distribute
these resources to loyalists, further solidifying their power and suppressing
dissent by controlling access to essential goods and opportunities.
3
To dominate a people, feudalism is a system of
social and political control that allows for easier management of a large
population. By creating little chiefdoms, the dictator can exert their control
over the entire population.
4
To dominate a people, the dictator must develop Charismatism
which would allow them to inspire intense loyalty, devotion, and a cult of
personality among the population. This makes people more willing to obey their
commands and less likely to question their authority.
5
To dominate a people, there must be a strict hierarchy
because such a structure provides a clear chain of command, allowing the dictator
to issue directives and expect obedience from those lower in the hierarchy.
This is essential for implementing policies and maintaining order.
Dear reader, when you look at Brice-Clotaire Oligui-Nguema’s campaign,
all these elements are there in full view. Don’t be surprised by the coming
dictatorship!
Version française
Max Weber, le Sociologue Allemand,
avait étudié les mécanismes de domination politique et sociale dans la société
allemande. Il est arrivé à la conclusion que la domination d'un peuple est
composée de ces éléments : le bureaucratisme, le patrimonialisme, le
féodalisme, le charismatisme et la hiérarchie.
1 Pour dominer un peuple, un dictateur a besoin d'une
bureaucratie forte qui traduirait les ordres et les politiques du dictateur en
actions concrètes à travers l'État. Sans une bureaucratie fonctionnelle, les
directives du dictateur manqueraient d'organisation et de main-d'œuvre
nécessaires à leur mise en œuvre. Une bureaucratie forte fournit au dictateur
une structure pour exercer un contrôle sur divers aspects de l'État, y compris
l'économie, la sécurité et les services sociaux. Des bureaucrates loyaux à des
postes clés veillent à ce que la volonté du dictateur soit respectée et à ce
que toute opposition potentielle soit gérée ou supprimée.
2 Pour dominer un peuple, le patrimonialisme est
nécessaire parce qu'il concentre intrinsèquement le pouvoir entre les mains
d'un seul dirigeant ou d'une petite élite qui lui est personnellement fidèle.
Cela réduit le risque de freins et de contrepoids ou d'opposition organisée. En
favorisant la loyauté personnelle par le biais du clientélisme, des récompenses
et du brouillage entre les sphères publiques et privées, le dictateur crée un
réseau d'individus qui lui doivent tout. Dans un système patrimonial, les
ressources de l'État sont souvent traitées comme des biens personnels du leader.
Cela leur permet de distribuer ces ressources aux loyalistes, renforçant ainsi
leur pouvoir et réprimant la dissidence en contrôlant l'accès aux biens
essentiels et aux opportunités.
3 Pour dominer un peuple, le féodalisme est un système de
contrôle social et politique qui permet une gestion plus facile d'une grande
population. En créant de petites chefferies, le dictateur peut exercer son
contrôle sur l'ensemble de la population.
4 Pour dominer un peuple, le dictateur doit développer un
charismatisme qui lui permettrait d'inspirer une loyauté intense, une dévotion
et un culte de la personnalité au sein de la population. Cela rend les gens
plus disposés à obéir aux ordres et moins susceptibles de remettre en question
l’autorité du dictateur.
5 Pour dominer un peuple, il doit y avoir une hiérarchie
stricte parce qu'une telle structure fournit une chaîne de commandement claire,
permettant au dictateur d'émettre des directives et d'attendre l'obéissance de
ceux qui sont plus bas dans la hiérarchie. Ceci est essentiel pour la mise en
œuvre des politiques et le maintien de l'ordre.
Cher lecteur, quand on
regarde la campagne de Brice-Clotaire Oligui-Nguema, tous ces éléments sont
bien en vue. Ne soyez pas surpris par la dictature qui s’annonce !
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