THE WEAKNESS OF TOO MANY GABONESE INTELLECTUALS IN THE FACE OF MONEY! LA FAIBLESSE DE TROP D’INTELLECTUELS GABONAIS DEVANT L’ARGENT!
English version
Jean-Delors Biyogue-bi-Ntougou is the type of Gabonese intellectuals
who has been discrediting the Gabonese academy for several decades now. When
this gentleman was away from those in power, how many good governance seminars
did he lead for Gabonese officials? How many times have we seen him on
television giving us directives on codes of ethics and conduct in terms of
governance? The man would have been given communion without confession, as they
say!
But less than 6 months after being appointed to an important position
within the C'BON galaxy, the man who seemed so virtuous on television has
become a carrier of money bags intended to buy hearts and minds. How can one be
so vile and put themself on sale so easily?
For those who are not aware of this case, this blog has been able to
establish the following facts:
1. Jean-Delors
Biyogue-bi-Ntougou is said to have gone to France before the presidential
election, with a sum of 120000 euros in cash that he would have given to
Gabonese "activists" in this territory so that they could organize a
massive get out to vote effort for C'BON.
2. There would be
disputes about this delivery of money and some people would accuse Jean-Delors
Biyogue-bi-Ntougou of having evaporated part of this money in the process.
Dear readers, as you know, this blog doesn't like to talk about this
kind of topic because we try to maintain the fairly high standard that you
expect. But if we are talking about this Jean-Delors Biyogue-bi-Ntougou case,
it is because it is symptomatic of what is wrong with some of our
intellectuals: their propensity for moral decrepitude.
We can see from this case that some of our intellectuals are ready to
do anything to make room for themselves in the state networks of influence to
play C’BON’s griot. These people are ready to do things beneath everything, to
achieve their ends. For them, social mobility is no longer education and
diploma, but devotion to C'BON.
Jean-Delors Biyogue-bi-Ntougou knew very well that the money he was
transporting was intended for unorthodox things. His attitude symbolizes a
certain Gabonese intelligentsia whose moral wanderings contribute to the bitter
bankruptcy of the country. Jean-Delors Biyogue-bi-Ntougou has jumped with both
feet into corruption.
There is reason to wonder if there are still intellectual workers left
in Gabon who make it their mission to undermine the foundations of the
prevailing and reigning despotism. After the 95% obtained by C'BON, we on this
blog are pessimistic.
C'BON has surrounded himself with the most opportunistic Gabonese college
graduates who in return will be grateful to him for having taken them out of
precariousness by entrusting them with positions of responsibility in the upper
echelons of power.
Version française
Jean-Delors
Biyogue-bi-Ntougou est le type d’intellectuels Gabonais qui n’arrête plus de
discréditer l’académie gabonaise depuis plusieurs décennies maintenant. Quand
ce monsieur était hors de la mangeoire, combien de séminaires de bonne
gouvernance a-t-il dirige à l’attention des fonctionnaires Gabonais ? Combien
de fois l’avons-nous vu sur les plateaux de télévision en train de nous donner
des directives sur les codes d’éthiques et de conduites en matière de
gouvernance ? On aurait donné au bonhomme la communion sans confession, comme
disent les autres !
Mais moins de 6 mois après
avoir été nommé à un poste important au sein de la galaxie C’BON, le monsieur
qui paraissait si vertueux à la télévision est devenue un porteur de sac
d’argent destiné à l’achat des consciences. Comment peut-on être si vil et se
vendre en solde aussi facilement ?
Pour ceux qui ne sont pas au
courant de cette affaire, ce blog a pu établir les faits suivants :
1. Jean-Delors Biyogue-bi-Ntougou se serait rendu avant
l’élection présidentielle, en France, muni d’une somme de 120000 euros en
liquide qu’il aurait remis à des « activistes » Gabonais sur ce territoire afin
qu’ils organisent un vote massif pour C’BON.
2. Il y aurait des disputes sur ce convoyage d’argent et
certaines personnes accuseraient Jean-Delors Biyogue-bi-Ntougou d’avoir fait
évaporer une partie de cet argent au passage.
Chers lecteurs, comme vous
le savez, ce blog n’aime pas parler de ce genre de sujet car nous essayons de
maintenir le niveau assez élevé dont vous vous attendez. Mais si nous parlons
de ce cas Jean-Delors Biyogue-bi-Ntougou, c’est parce qu’il est symptomatique
de ce qui ne va pas avec certains de nos intellectuels : leur propension à la
décrépitude morale.
Nous constatons par cette
affaire que certains de nos intellectuels sont prêts à tout pour se faire une
place dans les réseaux étatiques d’influence pour jouer au griot de C’BON. Ces
gens sont prêts à faire des choses en dessous de tout, pour arriver à leurs
fins. Pour eux, la mobilité sociale n’est plus l’instruction et le diplôme,
mais la dévotion à C’BON.
Jean-Delors
Biyogue-bi-Ntougou savait très bien que l’argent qu’il convoyait était destiné
à des choses peu orthodoxes. Son attitude symbolise une certaine intelligentsia
gabonaise dont les errements moraux participent à la faillite cuisante du pays.
Jean-Delors Biyogue-bi-Ntougou a sauté les deux pieds joints dans la
corruption.
Il y a lieu de se demander
s’il reste encore au Gabon, des travailleurs intellectuels qui se donnent pour
mission de saper les bases du despotisme ambiant et régnant. Après les 95%
obtenus par C’BON, nous sur ce blog, sommes pessimistes.
C’BON s’est entouré des
diplômés Gabonais les plus opportunistes qui en retour lui sauront gré de les
avoir sortis de la précarité en leur confiant des postes de responsabilité dans
les hautes sphères du pouvoir.
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