NO PATRIOT COULD ACCEPT THE HUMILIATION OF “WHO IS SULKING, MOVES”! AUCUN PATRIOTE NE POURRAIT ACCEPTER L’HUMILIATION DU « QUI BOUDE, BOUGE » !










English version

Dear readers, even a cursory review of the global political environment shows us that, for example, in the United States, the biggest criticics of American politics and American power are the Americans themselves. In the same way, one will note that the greatest critics of French policy and the French power are the French themselves.

The same thing is observed in all the free and democratic countries.

So here we come to denounce the concept wanting, in Gabon, to assimilate patriotism to sycophancy. They want to make the Gabonese people believe that the best way to love their country is to accept everything from those who run it. This is unacceptable.

In fact, through Brice Laccruche-Alihanga, the Bongo regime tells us: "the dictatorship, you will love it or you will shut up!" Period!. The message is very clear: if you are critical of the regime, it will persecute you. It is therefore asked that all Gabonese be a nice stooge with a disciplined deaminor that will permanently sing the praise of those in power.

This blog wants to be clear; as Rokhaya Diallo often says, to critic your country is to be demanding toward it! Nothing more and nothing less. The concept of "who is sulking, moves" would simply push the criticism of the regime under the carpet; by basically estimating that anyone who would try to argue on the question of whether the regime is legitimate or whether it serves the people of Gabon effectively, will need to be neutralized; and this manu militari.

The regime would here and above all deny the Gabonese the possibility of argumentation and open and frank political debate. That, dear readers, is inadmissible for this blog. Sycophancy is not to be encouraged, as the regime is eager to advocate.


We will not give up !





Version française

Chers lecteurs, un examen même sommaire de l'environnement politique mondiale nous permet de constater que, par exemple, aux États-Unis, les plus grands critiques de la politique américaine et du pouvoir américain sont les américains eux-mêmes. De même, on constatera que les plus grands critiques de la politique française et du pouvoir français sont les Français eux-mêmes.

La même chose est observée dans tous les pays libres et démocratiques.

Nous venons donc ici dénoncer le concept voulant qu’au Gabon le patriotisme soit désormais assimilable au Larbinisme . On veut faire croire au peuple gabonais que la meilleure façon d'aimer son pays est de tout accepter de ceux qui le dirigent. Ceci est inacceptable.

En fait, par le truchement de Brice Laccruche-Alihanga, le régime Bongo nous dit : « la dictature, vous allez l’aimer ou vous allez la fermer ! ». Poin final. Le message est très clair : si vous vous montrer critique à l'égard du régime, il vous persécutera. Il est donc demandé à tout Gabonais d’être un gentil larbin aux allures discipliné qui en permanence, caressera le pouvoir dans le sens du poil.

Ce blog veut être clair ; comme le dit souvent Rokhaya Diallo, critiquer son pays c’est être exigeant à son égard ! Rien de plus et rien de moins. Le concept du « qui boude, bouge » voudrait simplement mettre la critique du régime sous le boisseau ; en estimant en gros que toute personne qui essayerait d'argumenter sur la question de savoir si le régime est légitime ou s’il sert efficacement le peuple Gabonais, soit mise hors d’état de nuire ; et ce manu militari.

Le régime voudrait ici et surtout nier aux Gabonais la possibilité même de l'argumentation et du débat politique franc et ouvert. Cela, chers lecteurs, est inadmissible pour ce blog. Le larbinisme n’est pas à encourager, comme le souhaite ardemment le faire le régime.


On ne lâche rien !

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