APPEL A AGIR LAWYER CLARIFIES THING. L’AVOCAT D’APPEL À AGIR CLARIFIE LES CHOSES

English version

On France 24, Ali Bongo’s attorney, wanting to demonstrate that one could completely recover from a stroke, took as an example the lawyer Mombembe who also suffered a stroke and would have recovered completely. However, the truth seems quite different as this response by Moubembe demonstrates:

"My colleague compares our Head of State to Me, a simple Citizen or Governed. But, I have known only one threat of a mystical stroke (so it was never a medical stroke as some have undergone with one or several surgeries). Indeed, having woken up the morning of Saturday, November 1, 2013 (All Saints Day of the day of dead), I found that I had lost the “reading” function without being deaf, blind, disabled, etc. On Monday morning, November 03, 2013, I was seen at 8am by my regular Ophthalmologist, Ms. Milebou, the current Senate Speaker, who consulted me and immediately made contact with her colleague at El Rapha Polyclinic. This threat of a probable Cardiovascular Disease (CVA) was controlled by six (6) months of appropriate medical care. I was physically healthy as I am today. My recent medical visit at one of the major Parisian hospitals specialized in the field confirms the normality of my physical and intellectual state! Given what my young colleague says to predict a possible remission from the unwell state of his client, it is only a shared wish. But, by saying this, Mr. Ali's lawyer only comforted the legal-judicial request of my clients, which is pending before the Court of Appeal of Libreville, namely: a medical expertise, including assessment of intellectual capacity, of the state of his client, a physical person. His argument, which is the manifest expression of false allegations about me, proves sufficiently that his client, a physical person, is currently physically and intellectually incapable of leading Gabon and its people. In turn, the decision of the Constitutional Court remains flagrantly important. As a legal consequence: the acts taken by his client as President of the Republic are null and void in the absence of a decision of the Constitutional Court that would be contrary to that taken since last year or the beginning of this year, on the express recognition of his temporary incapacity to preside over the destiny of the Gabonese Nation! This is what I am preparing to launch via Social Networks and the private Press! "

Version française

Sur France 24, l’avocat d’Ali Bongo, voulant démontrer qu’on pouvait totalement se remettre d’un AVC, a pris pour exemple Maitre Mombembe qui aurait aussi été victime d’un AVC et aurait recouvert tous ses moyens. Mais seulement, la vérité semble toute autre comme le démontre cette réplique de Maître Moubembe :

« Mon Confrère compare notre Chef de l'État à Moi, simple Citoyen ou Gouverné. Mais, je n'ai connu qu'une seule menace d'un AVC mystique ( donc JAMAIS UN AVC SANITAIRE comme certains ayant subi une ou des opérations chirurgicales). En effet, m'étant réveillé le matin du Samedi 1er novembre 2013 (jour de la Toussaint et des morts) , j'ai constaté que j'avais perdu la fonction " Lecture " sans être muet, sourd, aveugle, infirme, etc. Le lundi matin 03 novembre 2013, j'étais reçu dès 08h du matin à son Cabinet par mon Ophtalmologue habituelle Mme Milebou, l'actuelle Présidente du Sénat, laquelle me consultait et prenait attache immédiatement avec son Collègue de la Polyclinique El Rapha. Cette menace d'un probable Accident cardio-vasculaire (AVC) fut maîtrisé pendant six (6) mois de soins médicaux appropriés. J'étais physiquement bien portant comme je le suis aujourd'hui. Ma visite médicale récente dans un des grands hôpitaux parisiens spécialisés en la matière confirme la normalité de mon état physique et intellectuel ! Avec ce que mon jeune Confrère dit pour prévoir une éventuelle sortie de l'état maladif de son client, ce n'est qu'un souhait commun. Mais, par ce biais, l'Avocat de Monsieur Ali ne fait que réconforter la demande juridico-judiciaire de mes clients, qui est pendante devant la Cour d'Appel de Libreville, à savoir : une expertise médicale de l'état notamment intellectuel de son client, personne physique. Son argumentaire qui est l'expression manifeste des allégations mensongères à mon égard, prouve à suffisance que son Client, personne physique, est actuellement dans l'incapacité physique et intellectuelle de diriger le Gabon et le Peuple. Par ricochet, la décision de la Cour Constitutionnelle reste toujours d'actualité flagrante. Comme conséquence juridique : les actes pris par son client es qualité de Président de la République sont tous nuls et de nul effet en l'absence d'une Décision de la Cour Constitutionnelle contraire à celle prise depuis l'année passée ou le début de cette année, sur la reconnaissance expresse de son incapacité temporaire de présider la destinée de la Nation Gabonaise ! C'est ce que je me prépare à lancer via Réseaux sociaux et la Presse privée ! »