LES ÉMERGENTS DISJONCTENT; LA PROMOTION DU DÉMENTI DE MICHEL DE BONNECORSE ÉCHOUE ET ALI BONGO FANFARONNE Á OYEM
Les émergents qui ne vivent que de propagande sont en train d’apprendre à leurs dépends que les sages avaient bien raison quand ils disaient qu’il soit plus difficile de progresser de l'erreur vers la vérité, que de vérités en vérités, ou encore d'une vérité moindre à une vérité plus grande. Pour ne l’avoir pas compris, et à cause d’un déficit stratégique certain, les émergents se retrouvent dans une belle pagaille, car en allant recueillir les propos de Michel de Bonnecorse par le truchement de la propriété des Bongo qu’est 3A Télésud, les émergents se sont enfoncés un peu plus. En effet, alors que les émergents se sont empressés de déclarer dans leur presse que de Bonnecorse reniait ses propos sut 3A Télésud, la vidéo de l’entretient démontre qu’au contraire ce dernier ne fait tout au plus qu’éviter aux Bongo un embarras. Il dit « avoir été maladroit », il dit qu’il s’exprimait « off the record », c'est-à-dire en off. Mais à aucun moment, il n’affirme que ce qu’il a dit soit faux. De deux choses l’une, soit il dit vrai ou il dit faux. Pas les deux en même temps. L’ennui pour les émergents est que 2 autres acteurs de la françafrique disent la même chose : Maurice Delaunay, ancien ambassadeur de France au Gabon, et Jacques Sales. Les émergents se rendent donc à l’évidence que leur manœuvre de faire mentir Michel de Bonnecorse a échoué, car même dans leur camp, personne ne peut argumenter avec cohérence que ce qui est dit dans le documentaire ne se vérifie pas. Alors, la grenade dégoupillée ayant explosée entre les mains des émergents, ils perdent la boussole, et comme d’habitude quand ils sont à cours d’idées, envoient leurs tartarins vociférer au journal de 20 heures sur la RTG1.
1. En premier lieu, la RTG1 vilipende Zacharie Myboto : d’après la RTG1, il n’est qu’un aigris (quoi d’autre ?), un mauvais perdant etc… Edgar Nziembi Doukaga de la RTG1 est celui qui a pour mission de lessiver Myboto et son parti.
2. Madame Biviga Boussougou, le porte parole du PDG dit que le documentaire « Françafrique » n’est qu’un navet, et que les gens qui y témoignent de sont que des nostalgiques qui colportent des ragots de quartiers. Cette dame poussera le ridicule jusqu'à affirmer que ce sont les « mauvais perdants » de l’élection au Gabon en 2009 qui sont les commanditaires du documentaire. Elle menace de trainer Myboto et son parti devant les tribunaux pour atteinte à la sureté de l’état s’ils continuent d’exiger la démission d’Ali Bongo.
3. Jean Raoul Mbadinga attaque le documentaire et menace la France. Il prend à témoin la visite de Ban Ki-Moon au Gabon pour tenter de démontrer que face à la communauté internationale, Ali Bongo est bel et bien le président « élu » du Gabon.
Mais ces gesticulations sur la RTG1 des petits soldats de plomb de l’émergence, ne changent rien au fait que le citoyen lambda intelligent sache et retienne l’essentiel ; c'est-à-dire l’imposture irréfutable d’Ali Bongo. La vérité est là et nous ne faisons que la voir. En fait avec les derniers évènements, depuis les vidéos maçonniques jusqu’au documentaire, nous allons de vérités inconfortables envers les Bongo, en vérités inconfortables envers les Bongo. Vociferer à perdre haleine sur la RTG1 n’est que l’expression d’une faillite stratégique dont les émergents n’ont aucune solution ; alors, ils tâtonnent.
Ali Bongo à Oyem : une insignifiante mise en scène.
On a fait aligner les gens à l’aéroport. Quand on sait qu’Oyem c’est grosso modo 60000 âmes, on ne peut pas parler de foule à l’aéroport
On fait croire qu’il ya enthousiasme autour d’Ali Bongo au pied de l’avion, alors que c’est son propre entourage qui s’agite.
Sur la place de l’indépendance, la journaliste Amélie Mbougou prétendra avoir compté 10000 personnes. Combien en voyez-vous sur cette image grand angle, si vous soustrayez les militaires ? Propagande, propagande !
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