MOUBARAK CAPITULE ET DÉMISSIONNE DEVANT LA PRESSION POPULAIRE. AVIS AUX GABONAIS: LE DÉPART D'ALI BONGO EST Á NOTRE PORTÉE!!!
Ali Bongo et Hosni Moubarak
Après deux semaines passées à vouloir intimider la population égyptienne, Hosni Moubarak a finalement consenti à quitter le pouvoir, quand il a compris que plus il menaçait le peuple, plus les manifestants renforçaient leurs positions en faveur de la fin du règne sans partage de plus de 30 ans. La leçon pour les gabonais est que le régime du tout puissant Moubarak a pris fin sous la pression, pacifique, des citoyens égyptiens à mains nues. Toute la puissance militaire de Moubarak n'a pas suffit à faire fléchir les égyptiens. La moralité de l'histoire est qu'aucune force ne peut subjuguer un peuple qui a décidé de se libérer. Chers lecteurs, on peut donc dire que le temps est bien sale pour nos dictatures. Va-t-il leur arriver ce qui est survenu dans les pays de l'Est, à la suite de la chute du mur de Berlin? Seuls nos peuples peuvent faire réaliser ce rêve. Toutes nos dictatures africaines sont des châteaux de cartes, et une fois que la peur qu'ils ont instillée dans la population grâce à des décennies de brutalités et d'intimidations, disparaît, ces régimes s'effondreront d'eux mêmes. Il est à souhaiter que nous saisissions le moment, pour que vive la liberté sur la côte gabonaise!
Cher lecteurs, il n'est pas exagéré de penser que nous nous ayons l'opportunité d'imposer la fin des dictatures; tout simplement parce que le simple citoyen, refuse d'être dirigé par des personnes non-méritantes, dont le seul atout serait d'être "fils de", "neveu de", "nièce de" etc. Avec la marginalisation des canaux d'information aux ordres, comme la RTG1 qui participe à diffuser une information propagandiste, fini donc l'ère où l'information était transmise par des professionnels payés par ceux qui ont de l'argent et le pouvoir. Aujourd'hui, nous pouvons nous-mêmes formuler nos propres analyses, nos modes d'action, et nous les échanger de manière totalement autonome, sans que les Bongo n'y puissent absolument rien. Comme tunisiens et égyptiens qui ont utilisés les réseaux sociaux sur internet avec ingéniosité, mettons nous au travail avec objectif le départ d'Ali Bongo et de sa famille. C'est possible. La principale leçon pour nous gabonais restera que les révolutions pacifiques soient possibles. Ceux qui disent toujours "on veut la paix, on veut la paix", n'ont plus d'excuses, car Tunisiens et Egyptiens viennent de nous démontrer que la violence est inutile. D'ailleurs, le seul à utiliser la violence et l'intimidation est Ali Bongo. Il doit bien se rendre compte que sa violence est inutile et que si les gabonais décidaient de se lever comme un seul homme, il ne pourrait pas résister á cet orage populaire. Comme les égyptiens et Tunisiens, les gabonais doivent manifester pacifiquement, et surtout s'unir dans ces revendications. L'armée est issue du même peuple que nous. Même si Ali Bongo gesticule aujourd'hui en arrêtant les gens à tour de bras pour faire peur à la population, Il serait moralement inacceptable que notre armée extermine sa propre population qui manifesterait. Si le peuple gabonais se montre déterminé dans ses revendications pacifiques, à la longue, Ali Bongo perdra le soutien de l'armée; et s'il perd le control de l'armée, il perd le pouvoir. La leçon que les égyptiens et tunisiens viennent de donner à tous les dictateurs de ce monde est que si les armes tuent, et si les bombes causent la terreur, par contre, seule la parole fait avancer les choses. Et cette parole appartient aujourd'hui au peuple gabonais qui se bat pour se libérer des Bongo. Et ça, personne ne peut le contester; pas même le plus béni-oui-oui des courtisans bongoïstes.
Chers lecteurs, dans ces moments critiques où certains choisissent de prendre des risques pour nous et tandis que d'autres continuent honteusement de louer la crapule Ali Ben qui torture et fait enfermer d'honnêtes gabonais qui ne font que revendiquer pacifiquement leurs droits, restons sereins mais enregistrons tout pour archives, gardons tout pour la postérité. Ces gabonais qui sont aux anges quand ils parlent d'Ali Bongo aujourd'hui, le moment venu, nous devrons leur ressortir s’il le faut, les articles de presse, les vidéo. Demain, si nous réussissons à faire fuir Ali Bongo, toute honte bue, les mêmes salueront le nouveau Gabon. Chers lecteurs, pratiquons l'hygiène de la pensée en classifiant ces gens et le moment voulu leur rappeler leurs positions.
Après deux semaines passées à vouloir intimider la population égyptienne, Hosni Moubarak a finalement consenti à quitter le pouvoir, quand il a compris que plus il menaçait le peuple, plus les manifestants renforçaient leurs positions en faveur de la fin du règne sans partage de plus de 30 ans. La leçon pour les gabonais est que le régime du tout puissant Moubarak a pris fin sous la pression, pacifique, des citoyens égyptiens à mains nues. Toute la puissance militaire de Moubarak n'a pas suffit à faire fléchir les égyptiens. La moralité de l'histoire est qu'aucune force ne peut subjuguer un peuple qui a décidé de se libérer. Chers lecteurs, on peut donc dire que le temps est bien sale pour nos dictatures. Va-t-il leur arriver ce qui est survenu dans les pays de l'Est, à la suite de la chute du mur de Berlin? Seuls nos peuples peuvent faire réaliser ce rêve. Toutes nos dictatures africaines sont des châteaux de cartes, et une fois que la peur qu'ils ont instillée dans la population grâce à des décennies de brutalités et d'intimidations, disparaît, ces régimes s'effondreront d'eux mêmes. Il est à souhaiter que nous saisissions le moment, pour que vive la liberté sur la côte gabonaise!
Cher lecteurs, il n'est pas exagéré de penser que nous nous ayons l'opportunité d'imposer la fin des dictatures; tout simplement parce que le simple citoyen, refuse d'être dirigé par des personnes non-méritantes, dont le seul atout serait d'être "fils de", "neveu de", "nièce de" etc. Avec la marginalisation des canaux d'information aux ordres, comme la RTG1 qui participe à diffuser une information propagandiste, fini donc l'ère où l'information était transmise par des professionnels payés par ceux qui ont de l'argent et le pouvoir. Aujourd'hui, nous pouvons nous-mêmes formuler nos propres analyses, nos modes d'action, et nous les échanger de manière totalement autonome, sans que les Bongo n'y puissent absolument rien. Comme tunisiens et égyptiens qui ont utilisés les réseaux sociaux sur internet avec ingéniosité, mettons nous au travail avec objectif le départ d'Ali Bongo et de sa famille. C'est possible. La principale leçon pour nous gabonais restera que les révolutions pacifiques soient possibles. Ceux qui disent toujours "on veut la paix, on veut la paix", n'ont plus d'excuses, car Tunisiens et Egyptiens viennent de nous démontrer que la violence est inutile. D'ailleurs, le seul à utiliser la violence et l'intimidation est Ali Bongo. Il doit bien se rendre compte que sa violence est inutile et que si les gabonais décidaient de se lever comme un seul homme, il ne pourrait pas résister á cet orage populaire. Comme les égyptiens et Tunisiens, les gabonais doivent manifester pacifiquement, et surtout s'unir dans ces revendications. L'armée est issue du même peuple que nous. Même si Ali Bongo gesticule aujourd'hui en arrêtant les gens à tour de bras pour faire peur à la population, Il serait moralement inacceptable que notre armée extermine sa propre population qui manifesterait. Si le peuple gabonais se montre déterminé dans ses revendications pacifiques, à la longue, Ali Bongo perdra le soutien de l'armée; et s'il perd le control de l'armée, il perd le pouvoir. La leçon que les égyptiens et tunisiens viennent de donner à tous les dictateurs de ce monde est que si les armes tuent, et si les bombes causent la terreur, par contre, seule la parole fait avancer les choses. Et cette parole appartient aujourd'hui au peuple gabonais qui se bat pour se libérer des Bongo. Et ça, personne ne peut le contester; pas même le plus béni-oui-oui des courtisans bongoïstes.
Chers lecteurs, dans ces moments critiques où certains choisissent de prendre des risques pour nous et tandis que d'autres continuent honteusement de louer la crapule Ali Ben qui torture et fait enfermer d'honnêtes gabonais qui ne font que revendiquer pacifiquement leurs droits, restons sereins mais enregistrons tout pour archives, gardons tout pour la postérité. Ces gabonais qui sont aux anges quand ils parlent d'Ali Bongo aujourd'hui, le moment venu, nous devrons leur ressortir s’il le faut, les articles de presse, les vidéo. Demain, si nous réussissons à faire fuir Ali Bongo, toute honte bue, les mêmes salueront le nouveau Gabon. Chers lecteurs, pratiquons l'hygiène de la pensée en classifiant ces gens et le moment voulu leur rappeler leurs positions.
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