DESCRIPTION OF A LOOTING SCHEME! DESCRIPTION D’UN SCHEMA DE PILLAGE !
English version
In 2010, in a mob like operation, Ali Bongo, Maixent Accrombessi and Marie Madeleine Mborantsuo had the public treasury of Gabon to pay 65 billion CFA francs, to acquire a property in Paris called Pozzo di Borgo.
On papers, this property was placed under the control of a real estate company belonging to Maixent Accrombessi.
But in the meantime, Ali Bongo had exorbitantly indebted Gabon and no longer regularly paid, creditors threatened to seize the Pozzo di Borgo; that building had to be protected, must have thought Ali Bongo and his friends.
What the thugs who run Gabon found as a solution was to place this property under the control of the Embassy of Gabon in Paris so that the property would enjoy diplomatic immunity and could not be the subject of a judicial seizure.
But meanwhile, these thugs are trying to sell that property by realizing a nice capital gain of 350 million euros or 233 billion CFA francs. The buyers would come from Dubai!
And the Gabonese state in all this? Nothing to see, because the case is managed between the Bongos, their in-law Mickoto and Liban Souleman. Once the sale is concluded, Mickoto will take the profits into numbered accounts in tax havens; and we will be told that these funds were transferred into the unclear Gabonese Strategic Investment Fund, which nobody knows either the ins or the outs. Whoever dares to sulk, will certainly be moved!
Version française
En 2010, dans une opération de haut banditisme, Ali Bongo, Maixent Accrombessi et Marie Madeleine Mborantsuo on fait décaisser 65 milliards de francs CFA au Trésor Public Gabonais, pour acquérir un bien immobilier à Paris appelé le Pozzo di Borgo.
Sur les papiers, ce bâtiment fut placé sous le contrôle d’une société immobilière appartenant à Maixent Accrombessi.
Mais entretemps, Ali Bongo a exorbitamment endetté le Gabon et n’étant plus régulièrement payés, les créanciers menacent de saisir la Pozzo di Borgo ; il faut donc protéger cet immeuble se disent Ali Bongo et ses copains.
La trouvaille des voyous qui dirigent le Gabon est de placer ce bâtiment sous la tutelle de l’ambassade du Gabon à Paris de manière à ce que ce bien immobilier jouissent de l’immunité diplomatique et ne puisse faire l’objet d’une saisie judiciaire.
Mais parallèlement ces voyous cherchent à vendre cette bâtisse en réalisant une belle plus-value de 350 millions d’euros soit 233 milliards de francs CFA. Les repreneurs viendraient de Dubaï !
Et l’Etat Gabonais dans tout cela ? Que du vent, car l’affaire se gère entre les Bongo, leur beau-frère Mickoto et Liban Souleman. Une fois la vente conclue, Mickoto se chargera de mettre les profits dans des compte à numéros dans des paradis fiscaux ; et on nous dira que ces fonds ont été reversés au sulfureux Fonds Gabonais d’Investissements Stratégiques, dont personne ne connait ni les tenants, ni les aboutissants. Celui qui osera bouder, se fera certainement bouger !
Comments
Post a Comment