NO ONE IS INDISPENSABLE, NOT EVEN THE SO ERUDITE MARIE-MADELEINE MBORANTSUO! NUL N’EST INDISPENSABLE, PAS MÊME LA SI ÉRUDITE MARIE-MADELEINE MBORANTSUO!
English version
The ignorant asserts, the expert doubts, the wise reflects; Aristotle
advises us. Reading the numerous mails from the CTRIstes, we realize their
great ignorance, so deliberately peremptory are their affirmations. They know
that in Gabon there is no better person than Mborantsuo to plead the cause of
Gabon in The Hague.
Popular wisdom teaches us, however, that cemeteries are filled with
people who thought they were indispensable. The people who, as Marie-Madeleine
Mborantsuo seems, believe themselves indispensable, are also often those who
think that the world cannot do without them. But for this blog, unfortunately
for them, life goes by and like everyone else, they often pass away without
having left an essential trace for people to remember them as important beings.
What will the Gabonese people remember about Marie-Madeleine Mborantsuo when
she is no longer with us?
No one is indispensable, because whatever one's social position or role
in the administration, one is part of a larger whole, the country, the nation.
This means that even if one makes a unique and important contribution, the
country or nation can continue to function without their presence. The CTRIstes
must remember this.
A country is constantly evolving and changing. Needs are renewed,
priorities change, and people may have to change too. It is important that in a
country, the people who lead are prepared to give up their place.
Dear readers, let us never fall into the trap of considering that
individuals are more indispensable than the nation. Marie-Madeleine
Mborantsuo's record of service speaks volumes about her crimes against the
Gabonese nation. In a normal country, this lady would be answering for her
actions; but in Gabon, we are told that she is the only jurist capable of
leading a Gabonese delegation to the International Court of Justice.
Version française
L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit ;
nous conseille Aristote. En lisant le nombreux courrier des CTRIstes, nous nous
apercevons de leur grande ignorance, tant leurs affirmations sont
volontairement péremptoires. Ils savent qu’au Gabon il n’y a pas mieux que
Mborantsuo pour aller plaider la cause du Gabon à la Haye.
La sagesse populaire nous enseigne pourtant
que les cimetières sont remplis de gens qui se croyaient indispensables. Les
gens qui, comme il le semble Marie-Madeleine Mborantsuo, se croient
indispensables, sont aussi souvent ceux qui pensent que le monde ne puisse se
passer d’eux. Mais pour ce blog, malheureusement pour eux, la vie passe et
comme tout le monde, ils trépassent souvent sans avoir laissé de trace
indispensable pour que les gens se souviennent d’eux comme des êtres importants.
Que retiendront les Gabonais de Marie-Madeleine Mborantsuo quand elle ne sera plus
de ce monde ?
Nul n'est indispensable, car quelle que soit la
position sociale ou le rôle qu’on aurait dans l’administration, l’on fait
partie d'un ensemble plus grand, le pays, la nation. Cela signifie que même si l’on
apporte une contribution unique et importante, le pays ou la nation peuvent
continuer à fonctionner sans cette présence. Les CTRIstes doivent s’en
rappeler.
Un pays évolue et change constamment. Les
besoins se renouvellent, les priorités se modifient, et les personnes peuvent
être amenées à changer aussi. Il est important que dans un pays, les gens qui
dirigent soient préparés à céder leur place.
Chers lecteurs, ne tombons jamais dans le piège
de considérer que des individus seraient plus indispensables que la nation. Les
états de services Marie-Madeleine Mborantsuo sont éloquents quant à ses crimes
contre la nation Gabonaise. Dans un pays normal, cette dame serait en train de répondre
de ses actes ; mais au Gabon, on nous dit que c’est la seule juriste
capable d’être à la tête d’une délégation du Gabon devant la Cour
Internationale de Justice.
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