LA LETTRE DU CONTINENT ANNOUNCES OYIMA’S DEPARTURE AND THE ARRIVAL OF INGE COLLINS’BOOK! LA LETTRE DU CONTINENT ANNONCE LE DÉPART D’OYIMA ET L’ARRIVÉE DU LIVRE D’INGE COLLINS!
Ali Bongo et Inge Collins pendant leurs noces
(Photo: ABC News)
English version
La Lettre du Continent in its latest edition, says that as early as September 2015, Henri-Claude Oyima could leave his post as the head of BGFI group. Ali Bongo and his friends, including Christian Kerangall, the main pillar of Delta Synergie, await for the holding of the next board meeting of the group, to endorse the decision. The raucous departure of Patricia Manon from BGFI was therefore a harbinger fact, as some people in the know had indicated; this would only be the result of a marginalization operation ongoing since 2009.
It is expected that to preserve appearances, Ali Bongo would throw to Oyima the bone of the presidency of the group's board of directors; an honorary position devoid of any power, but that should be paid handsomely. Christian Kerangall is tipped as the next head of BGFI. So, Delta Synergy is moving forward.
In the register of to "laugh or cry," La Lettre du Continent announces the arrival on the market, of a book written by Inge Collins, the American wife of Ali Bongo who made the front page of the tabloids with her extravagant lifestyle in a residence valued at 25 million dollars (15 billion CFA francs) in Beverly Hills, California.
Inge Collins would publish in 2016 in the United States, a book focusing on her life with Ali Bongo, whom she married in 1995 in Madrid, Spain. It is said that juicy revelations will be made on the Bongo clan management and the Gabonese people should expect facts about how their money is used for silliness. For example, in 2010, Inge Collins was mentioned in a US Senate report about money-laundering operations of Gabonese public money by the Bongo family in the United States. At issue was the existence of several bank accounts in the name of Inge Collins, in various institutions such as HSBC, Fidelity Investments, etc..., through which transited several transfers of millions of dollars, issued by Maixent Accrombessi, who at the time was Special Advisor to Ali Bongo at the Ministry of National Defense.
In an article published by the Los Angeles Times in 2009, Inge Collins states the following: "Gabon is a country of the haves and the have nots, and the haves were all Bongos. When I would complain, they literally laughed at me. They thought Americans were kind of foolish, that they didn't have time to worry about human rights… They wake up in the morning and decide what are they are going to buy; shop and shop and shop. They charter 747s and fill them. Everybody would get an envelope and you could buy your car and whatever you want. There were fleets of Porsches."
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Version française
La Lettre du Continent dans sa dernière édition, affirme que dès Septembre 2015, Henri-Claude Oyima quitterait la tête du groupe BGFI. Ali Bongo et ses amis, dont Christian Kerangall, le principal pilier de Delta Synergie, attendraient la tenue du prochain conseil d'administration du groupe, pour entériner la décision. Le départ rocambolesque de Patricia Manon de BGFI était donc un fait annonciateur comme certains « introduits » l’indiquaient ; ce ne serait que l’aboutissement d’une opération de marginalisation en progression depuis 2009.
Il est prévu que pour préserver les apparences, Ali Bongo jette à Oyima l’os de la présidence du conseil d’administration du groupe ; un poste honorifique dépourvu de tout pouvoir, mais qui devrait être grassement rémunéré. Christian Kerangall est pressenti comme le prochain patron de la BGFI. Comme quoi, Delta Synergie a de beaux jours devant-elle.
Dans le registre du « en rire ou en pleurer », La Lettre du Continent nous annonce l’arrivée sur le marché du livre, d’un ouvrage signé Inge Collins, l’épouse américaine d’Ali Bongo qui fit la une des tabloïdes en étalant sont train de vie dispendieux dans une résidence de 25 millions de dollars (15 milliards de francs CFA), à Beverly Hills en Californie.
Inge Collins donc publierait au courant de 2016 aux Etats-Unis, un livre portant essentiellement sur sa vie commune avec Ali Bongo qu’elle épousa en 1995 à Madrid, en Espagne. Il est dit que des révélations croustillantes seront faites sur la gestion du clan Bongo et les Gabonais devraient s’attendre à des confidences sur comment leur argent est utilisé pour des conneries. A titre d’exemple, en 2010, Inge Collins avait été citée dans un rapport du Sénat américain concernant des opérations de blanchiment de l’argent public gabonais par la famille Bongo aux Etats-Unis. Il était question de l’existence de plusieurs comptes bancaires au nom d'Inge Collins, dans différents établissements tels que HSBC, Fidelity Investments, etc…, par lesquels transitaient plusieurs virements en millions de dollars, émis par Maixent Accrombessi, à l'époque conseiller spécial d'Ali Bongo au ministère de la Défense Nationale.
Dans un article publié par le Los Angeles Times en 2009, Inge Collins déclare ceci : "Le Gabon est un pays de nantis et de démunis et les nantis étaient tous des Bongos. Quand je me plaignais, ils se moquaient littéralement de moi. Ils pensaient que les Américains étaient en quelque sorte naïfs, ils disaient ne pas avoir de temps à se soucier des droits de l'homme ... Ils se réveillent le matin et décident de ce qu’ils vont acheter; ils font des achats et des achats et des achats. Ils affrètent un 747 et le remplissent. Tout le monde recevrait une enveloppe et vous pouviez acheter votre voiture et tout ce que vous voulez. Il y avait des cortèges de Porsche."
Si ce passage indique la teneur du livre, ça promet!
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