THIS SUDDEN ADMISSION OF INSOLVENCY, AFTER THE AFCON ORGY THAT COST 400 BILLION CFA FRANCS. CETTE SOUDAINE ADMISSION D’INSOLVABILITÉ, APRÈS L’ORGIE DE 400 MILLIARDS DE FRANCS CFA DE LA CAN





English version

Only in banana republics do we see this kind of aberration: they cry out that they have enough cash to organize a football competition, which is useless by the way, at the cost of 20% of the budget of the country; then two weeks after the end of this competition, they come to confess of not having cash to meet the obligations made to teachers whose mission is to shape the future generations of the country. Isn’t this something!

It is Alain Claude Bilié By Nze, the minister Spokesman of the government, who came to lay the insanity: the government is not able to pay the bonuses due to teachers; he explained in effect. Many observers questioned the contempt this regime displays for education that it systematically refuses to support. It is clear that sport and show biz regularly serve Ali Bongo and the proponents of his authoritarian regime, in their project of indoctrination and framing of the masses towards total anesthesia and acceptance of the quasi monarchy.

The organization of a 400 billion CFA AFCON concurrently with the refusal to pay their bonuses to teachers, indicates this use of sport for ideological and propagandist purposes and, in parallel, the debasing of the teacher who should never be the model of success in Gabon.

When one’s regime is exercised over all sectors of society by: an economy controlled by their own corporation (Delta Synergie); a policy of keeping the population in line, which is extremely repressive; an exacerbated cult of the omnipotent chief; when one wants to keep young people on a leash, they have to encourage sport and showbiz and discourage education.

The destruction of the Gabonese public education is part of the Bongo society project. We must stop the bleeding!

We will not give up!




Version française

Il n’y a qu’en républiques bananières qu’on observe ce genre d’aberration : ça crie à tue-tête qu’on a assez de trésorerie pour organiser une compétition de football, somme toute inutile, au cout de 20% du budget du pays ; pour ensuite deux semaines après la clôture de cette compétition, venir avouer ne pas avoir de trésorerie pour répondre aux obligations faites aux enseignants dont la mission est de former l’avenir du pays. Il faut le faire !

C’est Alain Claude Bilié By Nze, le ministre Porte-parole du gouvernement, qui est venu pondre l’insanité : le gouvernement n’est pas en mesure de payer les primes dues aux enseignants ; a-t-il expliqué en substance. Ce à quoi bon nombre d’observateurs se sont interrogés sur le mépris que ce régime affiche au sujet de l’éducation qu’il refuse systématiquement de soutenir. Il est en effet évident aujourd’hui que le sport et le show-biz servent régulièrement Ali Bongo et les partisans de son régime autoritaire, dans leur projet d’endoctrinement et d’encadrement des masses vers une anesthésie totale et l’acceptation de la quasi monarchie.

L’organisation d’une CAN de 400 milliards de francs CFA simultanément au refus de payer leurs primes aux enseignants, témoignent de cette instrumentalisation du sport à des fins idéologiques et propagandistes, et en parallèle, de la clochardisation de l’enseignant qui ne devrait jamais être le modèle de réussite au Gabon.

Quand son régime s’exerce sur tous les secteurs de la société par: une économie contrôlée par sa propre corporation (Delta Synergie) ; une politique de maintien de la population au pas, qui est extrêmement répressive ; un culte exacerbé du chef omnipotent ; quand on veut tenir la jeunesse en laisse, il faut encourager le sport et le show-biz et décourager l’éducation.

La destruction de l’éducation publique Gabonaise fait partie du projet de société des Bongo. Nous devons arrêter l’hémorragie!

On ne lâche rien !

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