OTHERS HAVE DEVELOPED COUNTRIES, YOURS IS ROTTEN! CHEZ LES AUTRES C’EST DÉVELOPPÉ, CHEZ VOUS C’EST POURRI!
English version
Sometimes the simplest words carry the deepest messages. By accosting René Ndemezo'Obiang and Pacôme Moubelet-Boubeya, on a sidewalk of the megalopolis of New York, one of our valiant compatriots told them everything. The spontaneous words of this courageous compatriot were in substance the following:
"Hello, gentlemen, are you satisfied? People are dying in your country; you see in other countries how it is developed? ... Mister Pâcome Moubelet, what does it do to you to see other countries like this, developed; and you, you want to eat by yourself. You have the ability to eat and make sure everyone can eat ... Is this all you do? You have children. What do you have to say? "
Here is a sentence which, in very few words, summarizes the feeling of an entire population. Facing this valiant compatriot, René Ndemezo'Obiang and Pacôme Moubelet-Boubeya appeared particularly embarrassed, incapable of articulating the slightest response; only able of stammering a few words. When one knows René Ndemezo'Obiang to be particularly voluble in controlled environments; on this New York pavement, the man displayed a fleeting and pitiful look.
But the fundamental question of this compatriot remains: Are these individuals satisfied with the sorry state of their country today? Is this exactly the situation they want for their country, when they see that others are developing?
We want a much better Gabon than the one the Bongo serves us today. Donald Trump and Emmanuel Macron, whose photos with Ali Bongo are presented as trophies by the supporters of the Gabonese dictatorial regime, did not impose themselves to power by taking up arms against their rivals after losing the election.
Ali Bongo brutally slaughtered the Gabonese people and allowes himself to go strutting at the UN as the president of a Gabon he knows very well not to be the legitimate head of state. How can we have the slightest respect for so-called leaders who spend their time admiring the infrastructure and good living conditions in the West, while in their own country they are ruining the people’s lives by spreading misery and terror?
We will not give up!
Version française
Parfois, les mots les plus simples portent les messages les plus profonds. En accostant René Ndemezo’Obiang et Pacôme Moubelet-Boubeya, sur un trottoir de la mégalopole de New-York, un de nos vaillants compatriotes leur a tout dit. Les mots spontanés de ce courageux compatriote ont été en substance les suivants :
« Bonjour Messieurs, vous êtes contents ? Les gens meurent chez vous ; vous voyez chez les autres comment c’est développé ? … Monsieur Pacôme Moubelet, ça vous fait quoi quand vous voyez chez les comme ça, développé ; et que vous, vous voulez manger tout seul. Vous avez la possibilité de manger et de faire en sorte que tout le monde puisse manger… Est-ce que c’est bien tout ce que vous faites ? Vous avez des enfants. Qu’est-ce que vous avez à dire ? »
Voici un passage qui en très peu de mots, résume le sentiment de toute une population. Devant ce vaillant compatriote, René Ndemezo’Obiang et Pacôme Moubelet-Boubeya sont apparus particulièrement gênés, incapables d’articuler la moindre esquisse de réponse ; se contentant de balbutier quelques mots. Quand on sait René Ndemezo’Obiang particulièrement volubile dans des environnements contrôlés ; sur ce trottoir New-Yorkais, l’homme affichait un regard fuyant et pitoyable.
Mais la question fondamentale de ce compatriote reste entière : Ces individus sont-ils satisfaits de l’état malheureux de leur pays aujourd’hui ? Est-ce exactement la situation qu’ils désirent pour leur pays, alors qu’ils voient bien que les autres se développent ?
Nous voulons d’un Gabon bien meilleur que celui que les Bongo nous servent aujourd’hui. Donald Trump et Emmanuel Macron, dont les photos en compagnie d’Ali Bongo sont présentées comme des trophées par les partisans du régime dictatorial Gabonais, ne se sont pas imposés au pouvoir en prenant les armes contre leurs rivaux après avoir perdu l’élection.
Ali Bongo a massacré sans ménagement les Gabonais et se permet d’aller se pavaner à l’ONU comme président d’un Gabon dont il sait fort bien ne pas être le chef d’Etat légitime. Comment pouvons-nous avoir le moindre respect pour des soi-disant dirigeants qui passent leur temps à admirer les infrastructures et les bonnes conditions de vie qui existent en occident, alors que dans leur propre pays, ils pourrissent la vie des populations en y semant la misère et la terreur.
On ne lâche rien !
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