ALI BONGO IS COUNTING ON THE ENVIRONMENT TO GET HIMSELF BACK ON THE SADDLE ON THE INTERNATIONAL SCENE. ALI BONGO COMPTE SUR L’ENVIRONNEMENT POUR SE REMETTRE EN SELLE SUR LA SCÈNE INTERNATIONALE
English version
It is La Lettre du Continent that says it; Ali Bongo would have decided to try to seduce Westerners, mainly the principal owner of Gabon on the international stage, France and therefore Emmanuel Macron, by presenting himself no longer as a bloody dictator, but as an environmentalist worrying to the highest point about the health of the planet. Pull out your handkerchiefs!
After the European Union resolution against Gabon, voted on 14 September 2017, which significantly damaged and weakened Ali Bongo, he would probably have decided to bet all the way on environmental themes to maintain his entry within international circles.
He therefore seized the opportunity given by the United Nations General Assembly, which was held from 19 to 25 September 2017 in New York, to attempt to legitimize himself before the international community by beating the drum of the danger of climate change. This approach would have been advised to him by the British Lee White, who is the executive secretary of the National Agency for the Preservation of Nature in Gabon. Who said that Ali Bongo was not a Pan-Africanist?
On this issue, Guy Rossatanga-Rignault, simultaneously Secretary General of the Presidency and President of the National Climate Council, deals with the legal aspects.
La Lettre du Continent also tells us that Ali Bongo met Laurent Fabius, who is the Facilitator of the COP21 and President of the French Constitutional Council, in New York. This former French Prime Minister also leads a group of international experts who advocate at the United Nations for a "global environmental pact".
But according to La Lettre du Continent, Denis Sassou Nguesso would have had the same idea. He announced in New York, the organization of a summit on the financing of the Blue Fund for the Congo Basin, of which he would be the guarantor, at the end of October in Brazzaville. On this, Sassou is advised by Jean-Louis Borloo. It is also the wife of François Soudan, who happens to be the Congolese Minister of Tourism and Environment, Arlette Soudan-Nonault, who must "sell" this initiative to international organizations. One should expect rave reviews in Jeune Afrique.
Version française
C’est La Lettre du Continent qui l’affirme ; Ali Bongo aurait décidé d’essayer de séduire les occidentaux, principalement le patron principal du Gabon sur la scène internationale, la France et donc Emmanuel Macron, en se présentant non plus comme un dictateur sanguinolent, mais un environnementaliste se préoccupant au plus haut point de la santé de la planète. Sortez vos mouchoirs !
Après la résolution de l'Union européenne contre le Gabon, votée le 14 septembre 2017, qui a significativement écorchée et affaiblie Ali Bongo, il aurait vraisemblablement décidé de miser tous azimuts sur les thématiques environnementales pour maintenir ses entrées dans les milieux internationaux.
Il a donc saisi l’occasion donnée par l'assemblée générale des Nations unies qui se tenait du 19 au 25 septembre 2017 à New York, pour tenter de se coiffer de légitimité auprès de la communauté internationale, en battant le tam-tam du danger du changement climatique. Cette approche lui aurait été conseillée par le Britannique Lee White, qui est le secrétaire exécutif de l'Agence Nationale de la Préservation de la Nature au Gabon. Qui a dit qu’Ali Bongo n’était pas panafricain ?
Sur ce dossier, Guy Rossatanga-Rignault, qui est simultanément Secrétaire Général de la Présidence et Président du Conseil National du Climat, s’occupe des aspects juridiques.
La Lettre du Continent nous apprend aussi qu’Ali Bongo a rencontré Laurent Fabius, qui est le Facilitateur de la COP21 et Président du Conseil Constitutionnel français, a New-York. Cet ancien Premier Ministre Français dirige aussi un groupe d'experts internationaux qui plaident aux Nations unies pour un "pacte mondial pour l'environnement".
Mais d’après La Lettre du Continent, Denis Sassou Nguesso aurait eu la même idée. Il aurait annoncé à New York, l'organisation pour fin octobre à Brazzaville, d'un sommet sur le financement du Fonds bleu pour le bassin du Congo, dont il serait le garant. Sur ce dossier, Sassou est conseillé par Jean-Louis Borloo. C’est par ailleurs, l’épouse de François Soudan, aussi Ministre Congolaise du Tourisme et de l'Environnement, Arlette Soudan-Nonault, qui doit "vendre" cette initiative auprès des organisations internationales. On devrait s’attendre à des articles dithyrambiques dans Jeune Afrique.
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