ARE GABONESE LIKE STALIN’S CHICKEN ? LES GABONAIS SONT-ILS COMME LE POULET DE STALINE ?
English version
The Russian novelist Chingiz Aitmatov recounted a story, in one of his articles, of what Josef Stalin thought of his people.
In 1935, Stalin invited his trusted senior advisors and some media henchmen to a meeting with intent to make a point using the most evocative of methods. When everyone was gathered at the barnyard, he called for a live chicken and vigorously clenched it in one hand. With the other hand, he then began to pluck out the chicken’s feathers in handfuls. The poor bird squawked under the torment but Stalin kept at denuding the chicken until it convulsed with agony. Remarkably unperturbed by the feeling of disgust obvious on the faces of the people too afraid to express their unease to the dictator, he continued until the chicken was completely unfeathered.
He then put the bird down by a small heap of grain and stood up to finish the last act while the people curiously observed the chicken move towards the grain. As the chicken started to peck, Stalin put his hand into his jacket pocket and pulled out another fistful of grain, putting it out in front of the wounded bird. To the utter surprise of the transfixed spectators, the chicken managed a weak-kneed stagger back to Stalin and started to peck the fresh grain right out of the hand that moments ago had inflicted unbearable pain on it. Stalin had made his point — loud and clear.
He turned to the people and said, “People are like this chicken. It doesn’t matter how much pain you inflict on them. The moment you offer them what they need, they will still follow you and turn to you for their survival.”
Version française
Le romancier Russe Chingiz Aitmatov a raconté une histoire, dans un de ses articles, de ce que Josef Staline pensait de son peuple.
En 1935, Staline invita ses conseillers principaux et certains hommes de main à une réunion afin de leur faire passer un message en utilisant ses méthodes les plus évocatrices. Quand tout le monde fut réuni, il se fit livrer un poulet vivant qu’il serra vigoureusement dans une main. Avec l'autre main, il commença alors à arracher les plumes du poulet. Le pauvre oiseau poussa des cris sous le tourment, mais Staline continua de dénuder le poulet jusqu'à ce qu'il convulse d’agonie. Remarquablement imperturbable face au sentiment de dégoût évident sur les visages des convives trop effrayés pour exprimer leur malaise au dictateur, il continua jusqu'à ce que le poulet soit complètement sans plumes.
Il posa ensuite l'oiseau près d’un petit tas de céréales et se mis de côté pour terminer le dernier acte, pendant que les gens observaient curieusement le poulet se diriger vers les grains. Alors que le poulet commença à picorer, Staline mit sa main dans la poche de sa veste et en tira une autre poignée de grains, la plaça devant l'oiseau mutilé. À la grande surprise des spectateurs, le poulet réussit à se mouvoir vers Staline et commença à picorer les grains qui échappait de la main de Staline qui, quelques instants auparavant lui avait infligé une douleur insupportable. Staline venait haut et fort de faire la preuve de sa conviction.
Il se tourna vers l’assistance et dit : «Les peuples sont comme ce poulet. Peu importe la douleur que vous leur infligez. Au moment où vous leur offrez ce dont ils ont besoin, ils vous suivront toujours et se tourneront vers vous pour leur survie. »
À méditer!
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