GABONESE INTELLECTUALS MUST IMPOSE A NEW SOCIAL CONTRACT BETWEEN THE RULERS AND THE GOVERNED, BECAUSE WHAT WE SAW IN FRANCE IS WORRYSOME! LES INTELLECTUELS GABONAIS DOIVENT IMPOSER UN NOUVEAU CONTRAT SOCIAL ENTRE GOUVERNANTS ET GOUVERNÉS, CAR CE QUE L’ON A VU EN FRANCE EST INQUIÉTANT!
English version
In France, many intellectuals tell you that Jean-Jacques Rousseau was
one of the main intellectual instigators of the French Revolution. Indeed, his
work "On the Social Contract or Principles of Political Law",
published in 1762, set out to establish the notions of sovereignty and
legislation, as well as the forms of government and the ways of expressing the
general will in a non-monarchical environment.
Rousseau's postulate was that man (read here the person, man or woman)
is naturally good, but it is society that corrupts him. So, for Rousseau, if we
are to preserve man, we must build society with rules that allow man to
flourish.
This blog would like Gabonese intellectuals to look into the problem of
a Gabonese social contract, which would ask citizens to do their job, and
governments to do theirs. The current situation in Gabon is that the only form
of commitment that prevails between the rulers and the governed is a form of
financial dependence that inexorably leads to a very very low kind of Kounabelism.
It's unbearable!
Gabonese people live in France, some vote there and pay their taxes
there; they will never kounabelize in front of Emanuel Macron, because it does
not enter into the French political traditions. But when Oligui-Nguema arrives
in France, these same people behave as if they were in Gabon in the 80s.
It is urgent to repoliticize the Gabonese people differently, to make
them understand that kounabelizing is a shameful act that is not worthy of a
modern citizen. This mission is very urgent because in Paris, we have seen all
the effect of rotten spirits.
Version française
En France, nombreux sont les
intellectuels qui vous disent que Jean-Jacques Rousseau soit l’un des
principaux instigateurs intellectuels de la révolution française. En effet, son
ouvrage « Du Contrat Social ou Principes du droit politique», publié en 1762,
se proposait d’établir les notions de souveraineté et de législation, ainsi que
les formes de gouvernement et les façons d’exprimer la volonté générale dans un
environnement non monarchique.
Le postulat de Rousseau était
que l’homme (lisez ici la personne, homme ou femme) est naturellement bon, mais
c'est la société qui le corrompt. Donc pour Rousseau, si on doit préserver l’homme,
il faut donc construire la société avec des règles qui permettent l’épanouissement
de l’homme.
Ce blog aimerait que des
intellectuels Gabonais se penchent sur la problématique d’un contrat social Gabonais,
qui demanderait aux citoyens de faire leur travail, et aux gouvernants de faire
le leur. La situation présente au Gabon voulant que la seule forme d’engagement
qui prévale entre gouvernants et gouvernés, soit une forme de dépendance financière
qui débouche inexorablement dans un kounabelisme de très très bas étages. C’est
insupportable !
Des Gabonais vivent en France,
certains y votent et y paient leurs imports ; ils ne kounabeliseront
jamais devant Emanuel Macron, car cela n’entre pas dans les canons politiques français.
Mais quand Oligui-Nguema arrivent en France, ces mêmes personnes se comportent
comme s’ils se trouvaient dans le Gabon des années 80.
Il est urgent de repolitiser
différemment les Gabonais, de leur faire comprendre que kounabeliser est un
acte honteux qui n’est pas digne d’un citoyen moderne. Cette mission est très urgente
car a Paris, on a vu toute la pouriture des esprits.
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