THE WEEKLY JEUNE AFRIQUE DOES NOT CARE ABOUT JOURNALISM ETHICS. LE JOURNAL JEUNE AFRIQUE SE MOQUE DE LA DÉONTOLOGIE JOURNALISTIQUE







English Version

On 29 April 2016, in what appeared to be an open forum, although no mention of that was made by Jeune Afrique, Maixent Accrombessi used the columns of this journal to give his opinion on the health of the green economy in Africa in General, and Gabon in particular. The problem here is that Accrombessi is not a specialist of the field, and a Gabonese expert in the field, Franck Ndjimbi, having found Accrombessi’s Article objectionable, wanted as required by journalistic ethics, to retort to Accrombessi in the columns of the same Jeune Afrique.

Franck Ndjimbi has thus written an expert text that showed that Accrombessi had published an amateur writing. He sent this text to Jeune Afrique, they did not deign to reply to him. Our blog has published that text and any thinking Gabonese may appraise the difference between Franck Ndjimbi and Maixent Accrombessi’s expertise. We all know who is the impostor here.

In acting this way, Jeune Afrique has once again demonstrated that it will ignore the journalistic code of ethics. To those who still buy this journal, we just would like to remind them of the outline of the journalistic code of ethics in France, the place of publication of Jeune Afrique. Here are the key facts:


1. Journalism is the means by which the rights to information and freedom of expression are respected.

2. The journalist has the obligation to rigor and honesty.

3. A journalist respects the public's right to rectification and the right of reply.

4. The journalist shall not accept or offer payment to publish an article.

5. The journalist agrees not to publish information at the request of paying customers. they must also refuse to disseminate information in exchange for an advertising contract. The journalist does not write advertorials.

6. The journalist must maintain his independence.


When we know that since 1960, Jeune Afrique has been paid by françafrican dictatorships for infomercials designed to seduce Western opinion; we understand why this journal does not care about professional ethics.




Version française

Le 29 Avril 2016, dans ce qui apparaissait comme une tribune libre, même si aucune mention n’en était faite par Jeune Afrique, Maixent Accrombessi a utilisé les colonnes de ce journal pour donner son avis sur la santé de l’économie verte en Afrique en General, et au Gabon en particulier. Le problème ici est qu’Accrombessi ne soit pas un spécialiste du domaine, et un des experts Gabonais du domaine, Franck Ndjimbi, ayant constaté les manquements de l’article d’Accrombessi, a voulu comme l’exige la déontologie journalistique, rétorquer à Accrombessi dans les colonnes de ce même Jeune Afrique.

Franck Ndjimbi a donc écrit un texte d’expert qui démontrait qu’Accrombessi avait publié une rédaction d’amateur. Il a envoyé ce texte à Jeune Afrique, qui n’a pas daigné en faire suite. Notre blog a publié ce texte et tout gabonais pensant peut se rendre compte de la différence d’expertise entre Franck Ndjimbi et Maixent Accrombessi. Nous savons tous qui est l’imposteur.

Par cette attitude, Jeune Afrique vient encore une fois démontrer qu’il se fiche du code de déontologie journalistique. A ceux qui achètent encore ce journal, nous venons rappeler les grandes lignes du code de déontologie journalistique en France, le lieu d’édition et de publication de Jeune Afrique. En Voici les principaux faits :


1. Le journalisme est le moyen par lequel le droits à l’information et la liberté d’expression, sont respectés.

2. Le journaliste a l’obligation de rigueur et d’honnêteté.

3. Le journaliste respecte le droit du public à la rectification et au droit de réponse.

4. Le journaliste ne doit ni accepter ni offrir paiement afin de publier un article.

5. Le journaliste s’engage à ne pas publier des informations à la demande de clients payant. Il doit refuser également de diffuser une information en échange d’un contrat publicitaire. Le journaliste n’écrit pas de publireportages.

6. Le journaliste doit préserver son indépendance.

Quand on sait que depuis 1960, Jeune Afrique se fait payer par les dictatures françafricaines, pour des publireportages destinés à séduire l’opinion occidentale ; on comprend pourquoi ce journal se fiche de la déontologie du métier.

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