A SERIOUS STATE OR A CIRCUS ? UN ÉTAT SÉRIEUX OU UN CIRQUE ?

English version

The spectacle being offered to us by Ali Bongo and his electoral co-conspirators is distressing. In summary, as if to paraphrase their friend and brother Jacques Chirac, they tell us that since democracy remains a luxury for Africans, they will prepare us and present to us a watered down model that we will have to be happy with. They offer us a facsimile of democracy, stripped of any possibility of substantial control on our part. Dear readers, it's a circus!

Dear readers, until further notice, in Gabon, only natural death will be the cause of any transfer of power; and even this transition would risk to be from father to son / daughter for generations; until we interrupt this maneuver in a clear and definitive manner.

We are in complete disagreement with these pretend leaders who rule us by force. It is not these people who will project us toward a prosperous and balanced future. Their elections are for us only circuses. Anyone who participates in these chooses of his own free will, their clown costume in this electoral tragi-comedy.

Let us note, dear readers, that the preoccupation of the electoralist opposition is no longer to impose respect for the vote of the Gabonese people; but to feed to citizens whom they believe to be gullible, new prophecies which put off until tomorrow the promise of change: inconsequential constitutional revisions; some cosmetic appointments here and there; etc. It is with this that they tell us that our future will be better as they continue to gorge themselves while plunging the country into chaos.

We will not give up!

Version française

Le spectacle que nous offrent Ali Bongo et ses complices électoralistes est affligeant. En somme, comme pour paraphraser leur Ami et frère Jacques Chirac, ils nous disent que puisque la démocratie reste un luxe pour les africains, ils vont nous préparer et présenter un modèle édulcorée dont nous devrons nous satisfaire. Ils nous offrent un facsimile de démocratie, dépouillée de toute possibilité de contrôle substantiel, de notre part. Chers lecteurs, c’est un cirque !

Chers lecteurs, jusqu’à nouvel ordre, au Gabon, seul la mort naturelle sera la cause d’une quelconque passation de pouvoir ; et encore cette passation risquerait de se faire de père en fils/fille pendant des générations ; jusqu’à ce que nous interrompions cette manœuvre de manière nette et définitive.

Nous sommes en rupture totale avec ces dirigeants alibis qui nous dirigent de force. Ce ne sont pas ces gens qui nous projetterons vers un futur prospère et équilibré. Leurs élections ne sont pour nous, que des cirques. Toute personne qui y participe choisie de son propre gré, son costume de clown dans cette tragi-comédie électorale.

Remarquons, chers lecteurs, que la préoccupation des électoralistes de l’opposition, n’est déjà plus d’imposer le respect du suffrage des Gabonais ; mais d’abreuver les citoyens qu’ils croient crédules, de nouvelles prophéties qui remettent à demain la promesse de l’alternance : des révisions constitutionnelle inconséquentes ; quelques nominations cosmétiques ici et là ; etc. C’est avec cela qu’ils nous disent que nos lendemains seront meilleurs pendant qu’eux continuent de s’empiffrer tout en plongeant le pays dans l’affliction.

On ne lâche rien !