THE GABONESE MINISTRY OF FOREIGN AFFAIRS CANNOT TAKE CARE OF ITS EMPLOYEES BUT HIRES AN EXPENSIVE FRENCH CONSULTANT. LE MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DU GABON PEINE À RÉPONDRE AUX EMPLOYÉS, MAIS ENGAGE UN CONSULTANT FRANÇAIS À PRIX D’OR

English version

La Lettre du Continent tells us that his name is Stéphane Baumont; He is a lawyer, doctor of jurisprudence and professor of public and international law at the University of Toulouse. He is reported to have found a consulting position with the Gabonese Ministry of Foreign Affairs.

This French lawyer would have been placed under the responsibility of Placide Olouba Odounga, the director of investments at the commission for regional integration. Stéphane Baumont is a former chargé de mission in the press service of the Elysée.

In Gabon, he would be supposed to work on setting up a department to facilitate the economic relations of foreign investors wishing to set up in Gabon. He will provide the Gabonese authorities with various services: publications, books, speech preparations ..., as well as "weekly evaluation and recommendation notes" on the evolution of foreign investments in the country.

His salary? Hush; money does not like noise!

Version française

La Lettre du Continent nous dit qu’il s’appelle Stéphane Baumont ; il est avocat, docteur en droit et professeur en droit public et international à l'Université de Toulouse. Il aurait déniché un poste de consultant auprès du ministère gabonais des affaires étrangères.

Cet avocat français aurait été placé sous la responsabilité de Placide Olouba Odounga, le directeur des investissements au commissariat à l'intégration régionale. Stéphane Baumont est un ancien chargé de mission au service presse de l'Elysée.

Au Gabon, il serait supposé travailler à la mise en place d'un département devant faciliter les relations économiques des investisseurs étrangers désireux de s'implanter au Gabon. Il fournira aux autorités gabonaises divers services : publications, livres, préparation de discours…, ainsi que des "notes hebdomadaires d'évaluation et de préconisations" sur l'évolution des investissements étrangers dans le pays.

Son salaire ? Chut, l’argent n’aime pas le bruit !