BELIEF IN WITCHCRAFT HAS NEVER DEVELOPED A COUNTRY! LA CROYANCE EN LA SORCELLERIE N’A JAMAIS DÉVÉLOPPÉ UN PAYS !

 

 

English Version

 

Africa in general and Gabon in particular are places full of contradiction. As time passes and Africa modernizes and proclaims its ambitions to compete with the other continents, we notice that the belief in witchcraft in African societies remains almost intact from generation to generation.

 

Gabon's ruling elites, who must bring a better life to the people, swear by sorcery instead of focusing on rational solutions. These people spend most of their time sponsoring blood crimes that guarantee them sustainability in power, instead of pondering to find solutions to the many problems that undermine Gabonese society.

 

How to explain the hold that brotherhoods like Freemasonry have on the African and Gabonese elites? Elsewhere, in the West, Freemasonry allows its adherents to participate in the development of their society by imposing discipline and intellectual rigor allowing them to exert a positive influence on social, religious, economic and political life. At home in Africa, in general Freemasonry rhymes with often very curious sexual practices.

 

In the West, the distance of the population from superstition, has allowed society to educate its children towards the mysteries of life, the universe, economics, social sciences, medicine, leaving no room for amulets and spellcasters. By betting on cartesianism, Westerners have learned to truly know nature and the laws of the universe, to find rational explanations for so-called mysterious phenomena such as diseases or psychic disorders; and to differentiate between legend and scientific reality.

 

The more a people live in superstition, the more susceptible they are to fear, mystification, and blackmail by any sorcerer or pseudo-traditional healer. Dear readers, when we know that fear is a powerful instrument of domination of consciousness, when we know that fear feeds on the unknown and the mysterious, we understand that keeping Africans and Gabonese in this prison of superstition is a way of subjugating them and preventing them from progressing towards intellectual and material liberation.

 

A thinker once said that in order to suppress any revolt in advance, one must not go about it in a violent way, because it is enough simply to create a collective conditioning so powerful that the very idea of revolt will no longer even come to people's minds. To do this, individuals must be trained to believe in their own inability to do anything.

 

In Gabon, Freemasonry, traditional practitioners who ask for spare parts and evangelical churches, work for the regime. Their mission is to keep the Gabonese people in the state of nature without any prospect for open-mindedness towards a future made of progress and development.

 

 

 

 

Version française

 

L’Afrique en générale et le Gabon en particulier, sont des endroits pleins de contradiction. A mesure que le temps passe et que l’Afrique se modernise et proclame ses ambitions à compétir avec les autres continents, on remarque que la croyance en la sorcellerie dans les sociétés Africaines reste presqu’intacte de générations en générations.

 

Les élites dirigeantes du Gabon, qui doivent apporter le bien être aux populations, ne jurent que par le fétichisme au lieu de se concentrer sur les solutions rationnelles. Ces gens passent le clair de leur temps à commanditer des crimes de sang leur garantissant la pérennité aux affaires, au lieu de cogiter à trouver des solutions aux nombreux problèmes qui minent la société gabonaise.

 

Comment expliquer l’emprise que des confréries comme la Franc-maçonnerie ont sur les élites Africaines et Gabonaises ? Ailleurs, en occident, la Franc-maçonnerie permet à ses adhérents de participer au développement de leur société en leur imposant une discipline et une rigueur intellectuelle leur permettant d’exercer une influence positive sur la vie sociale, religieuse, économique et politique. Chez nous en Afrique, en général Franc-maçonnerie rime avec des pratiques sexuelles souvent bien curieuses.

 

En occident, l’éloignement de la population de la superstition, a permis à la société d’éduquer ses enfants vers aux mystères de la vie, de l’univers, de l’économie, des sciences sociales, de la médecine, en y laissant aucune place pour les gris-gris et les jeteurs de sorts. En faisant le pari du cartésianisme, les occidentaux ont appris à connaitre véritablement la nature et les lois de l’univers, à trouver des explications rationnelles aux phénomènes dits mystérieux comme les maladies ou les troubles psychiques ; et à faire la différence entre la Légende et la réalité scientifique.

 

Plus un peuple vit dans la superstition, plus il est susceptible à la peur, à la mystification, et au chantage par n’importe quel marabout ou pseudo-tradipraticien. Chers lecteurs, quand on sait que la peur est un puissant instrument de domination des consciences, quand on sait que la peur se nourrit de l’inconnu et du mystérieux, on comprend que maintenir les Africain et les Gabonais dans cette prison de superstition est une façon de les asservir et de les empêcher de progresser vers la libération intellectuelle et matérielle.

 

Un penseur a dit un jour que pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente, car il suffit simplement de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des gens. Pour cela, il faut formater les individus à croire en leur propre inaptitude à faire quoi que ce soit.

 

Au Gabon, la Franc-maçonnerie, les tradipraticiens qui demandent des pièces détachées et les églises éveillées travaillent pour le régime. Leur mission est de maintenir les Gabonais en l’état de nature sans aucune perspective d’ouverture d’esprit vers un future fait de progrès et de développement.