WHEN WE LOOK AT USTM, WE SEE THAT THE ALI BONGO REGIME HAS ABANDONED THE EDUCATION OF YOUNG GABONESE! QUAND ON REGARDE L’USTM, ON S’APERÇOIT QUE LE RÉGIME ALI BONGO A BIEN ABANDONNÉ L’ÉDUCATION DES JEUNES GABONAIS!
English version
Education is clearly not the priority of the Ali
Bongo regime. In fact, given the abysmal poor performance of this regime, one
may well wonder what constitutes the priority for these people who govern us.
But we are convinced of one thing: it is not education.
In the history of Gabon, we have never seen an
elite educational institution in the dilapidated situation in which the
polytechnic school that is USTM finds itself today. This is an unprecedented
situation that is only possible if and only if the Gabonese State allows it.
What kind of teaching, training and education can
be offered to Gabonese students in a decrepit school? The announcements of
rehabilitation of USTM have undoubtedly remained false promises, that is to
say, lies.
The images of USTM ruins are painful and
unbearable. The Ministers of Higher Education and the Prime Minister must
explain themselves.
The showing that USTM provides is sad and
revolting. It has become a den for cockroaches, rats; a place where you can
only see water leaks, broken toilets, dilapidated electrical installations,
unstable ceilings etc.
The walls of USTM are cracked, its doors and
windows are now non-existent, there is no more paint...; this is the image
presented by the Polytechnic University of Gabon.
USTM really needs a real rehabilitation. But the
Ali Bongo regime doesn't care, because for the dictatorship to persist,
Gabonese must live in injustice, iniquity and inequality; and to make them
accept this state of affairs, they must be stultified by massacring public
education.
The Ali Bongo regime has totally failed in all the
functions that one is usually entitled to expect from a State. General
dilapidation of the health system; abject decay of education (from primary to
university); multifaceted social crisis: massive youth unemployment and housing
crisis; general destruction of the environment by oil pollution, etc.
In fact, the only functions that the Gabonese State
has consistently and effectively performed since 1967 are predation and
repression!
Version française
L'éducation n'est manifestement
pas la priorité du régime Ali Bongo. En fait, au regard des performances
abyssalement médiocres de ce régime, on peut bien se demander ce qui constitue
la priorité pour ces gens qui nous gouvernent. Mais nous sommes convaincus
d'une chose : ce n'est pas l'éducation.
De toute l’histoire du
Gabon, nous n’avons jamais vu un établissement d’enseignement d’élite être dans
la situation de délabrement dans laquelle se trouve aujourd’hui l’école
polytechnique qu’est l’USTM. C’est une situation inédite qui n’est possible que
si et seulement si l’Etat Gabonais le permet.
Quel genre d'enseignement, de
formation et d'éducation, peut-on offrir aux élèves Gabonais dans un établissement
en pleine décrépitude ? Les annonces de réhabilitation de l’USTM sont incontestablement
restées de fausses promesses, c’est-à-dire des mensonges.
Les images de ruines de l’USTM
sont douloureuses et insoutenables. Les ministres de l’enseignement supérieur
et le Premier Ministre doivent s’expliquer.
Le spectacle que donne l’USTM
est triste et révoltant. C’est devenu un repaire de cafards, de rats ; un
endroit où on ne voit que des fuites d'eau, des toilettes défoncées, des installations
électriques vétustes, des plafonds instables etc.
Les murs de l’USTM sont
fissurés, ses portes et fenêtres sont désormais inexistantes, il n’y a plus de
peinture… ; voilà l’image que présente l’université polytechnique du
Gabon.
L’USTM a vraiment besoin
d’une véritable réhabilitation. Mais le régime Ali Bongo s’en fout, car pour
que la dictature persiste il faut que les Gabonais vivent dans l'injustice, l'iniquité
et l'inégalité ; et pour leur faire accepter cet état de fait, il faut les
abrutir en massacrant l’éducation publique.
Le régime Ali Bongo a
totalement échoué dans toutes les fonctions que l’on est en droit d’attendre
habituellement d’un État. Délabrement général du système de santé ; déliquescence
abjecte de l’éducation (du primaire à l’université) ; crise sociale
multiforme : chômage massif chez les jeunes et crise du logement ;
destruction générale de l’environnement par la pollution pétrolière, etc…
En fait, les seules
fonctions que l’État Gabonais assume avec constance et efficacité depuis 1967
sont la prédation et la répression !
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