OLIGUI DISMANTLES THE LINK BETWEEN PERENCO AND THE BONGO-VALENTINS! OLIGUI DÉMANTÈLE LA LIAISON ENTRE PERENCO ET LES BONGO-VALENTIN!
English version
Apparently, there were
close ties between Sylvia Bongo, her son Noureddin Bongo, and the number one oil
company operating in Gabon, Perenco.
The Gabonese
intelligence services would have information according to which, Perenco under
the protection of the Bongo-Valentins, would have engaged in tax evasion, that
is to say that this company did not pay taxes or duties on the profits
generated by the 120,000 barrels/day it produces in Gabon. At the moment,
Noureddin Bongo and the former Minister of Oil, Vincent de Paul Massassa, are
reportedly undergoing harsh interrogations on this subject.
The investigations
focus on an in-depth analysis of the financial flows between Perenco and the
Bongo-Valentins. The general manager of Perenco in Gabon, Adrien Broche, is
particularly targeted. The CEO of Perenco's parent company in Europe, Benoît de
la Fouchardière, is now also very present in Libreville to oversee the
evolution of this investigation.
For now, Perenco denies
all accusations, saying instead that it pays all taxes within the norms. At the
moment, the CTRI is talking about a possibility of seizing Perenco's assets.
To be continued!
Version française
Apparemment, des liens étroits
unissaient Sylvia Bongo, son fils Noureddin Bongo, et le numéro un du pétrole Gabonais
en ce moment, Perenco.
Les services de
renseignements Gabonais auraient des informations selon lesquels, Perenco sous
la protection des Bongo-Valentins, se serait livre a de l'évasion fiscale, c’est-à-dire
que cette compagnie de payait pas d'impôts ni taxes sur les profits générés par
les 120 000 barils/jour qu'elle produit au Gabon. En ce moment, Noureddin Bongo
et l'ancien ministre du Pétrole, Vincent de Paul Massassa, seraient en train de
subir des interrogatoires musclés à ce sujet.
Les enquêtes portent sur une
profonde analyse des flux financiers entre Perenco et les Bongo-Valentin. Le
directeur général de Perenco au Gabon, Adrien Broche, est particulièrement visé.
Le PDG de la maison-mère de Perenco en Europe, Benoît de la Fouchardière, est dorénavant
aussi très présent à Libreville pour superviser l’évolution de ce dossier.
Pour l’instant, Perenco nie toutes
les accusations, affirmant au contraire de payer tous les impôts dans les normes.
En ce moment, le CTRI parle d’une possibilité de saisie des actifs de Perenco.
Affaire à suivre !
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