AFTER ITS DEFEAT, COVERED IN SHAME, GABON GESTICULATES LIKE A PAPER TIGER! APRÈS SA DÉFAITE, COUVERTE DE HONTE, LE GABON GESTICULE À LA MANIÈRE D’UN TIGRE EN PAPIER!
English version
In international relations, the term "paper tiger" refers to
a country that portrays itself as powerful and threatening, but is actually
weak and ineffective.
The term "paper tiger" is a literal translation of the
Chinese phrase "zhǐlǎohǔ". This expression became widely known when
Mao Zedong used it to describe his political opponents.
Despite outward appearances, a paper tiger lacks the true strength and
resolve to back up its claims or effectively deter adversaries. A paper tiger
is unable to withstand a serious challenge or project power effectively.
After the verdict of the International Court of Justice which inflicted
on Gabon a powerful knockout of 14 votes to 1 for Equatorial Guinea, the
Gabonese Minister of Foreign Affairs issued the laconic statement above, in
which he threatened to implicate the status of the delimitation of the land
border between the two countries, in this dispute in view of the court's
decision.
But Minister Régis Onanga-Ndiaye knows very well that his argument has
no legal basis, since the file that was examined by the court only included the
three islands of Mbanié, Cocotiers and Conga. If Gabon wants to extend the
consequences of this verdict to the border between the two countries, it would
have to open another case, argue it and submit it to the arbitration of the
court. To simply say that Gabon will react by asking that the border be brought
back to that of the 1900 convention between France and Spain does not hold
water, because if this is the case, then Gabon must prepare to cede Woleu-Ntem
to Cameroon and Haut-Ogooué to Congo-Brazzaville. A serious minister cannot say
such nonsense, even in shame or anger.
Gabon has been poorly represented and defended before the International
Court of Justice. The Gabonese file was a Swiss cheese and the Equatorial
Guinean specialists demonstrated it. When you lose 14 to 1, it's because you're
not at the right level and instead of puffing out your chest, you have to put
your tail between your legs and accept to go back to your studies, all
mediocrity noted!
Version française
En relations
internationales, l'expression « tigre en papier » désigne un pays qui se
présente comme puissant et menaçant, mais qui est en réalité faible et
inefficace.
Le terme « tigre en papier »
est une traduction littérale de l'expression chinoise « zhǐlǎohǔ ». Cette expression est devenue largement connue
lorsque Mao Zedong l'a utilisée pour décrire ses opposants politiques.
Malgré les apparences, un
tigre en papier n'a pas la force et la détermination nécessaires pour étayer
ses revendications ou dissuader efficacement ses adversaires. Il est incapable
de faire face à une menace sérieuse ou de projeter une réelle puissance.
Suite au verdict de la Cour
Internationale de Justice (CIJ), qui a infligé une défaite cuisante au Gabon
(14 voix contre 1 en faveur de la Guinée équatoriale), le ministre gabonais des
Affaires étrangères a publié une déclaration laconique. Dans cette déclaration,
le ministre menaçait d'impliquer le statut de la délimitation de la frontière
terrestre entre les deux pays en raison de cette décision de la Cour.
Le ministre Regis
Onanga-Ndiaye sait que son argument est juridiquement nul. L'affaire examinée
par la CIJ ne concernait que les trois îles de Mbanié, Cocotiers et Conga. Si
le Gabon souhaite étendre les conséquences de ce verdict à la frontière
terrestre entre les deux pays, il faudrait ouvrir un autre dossier, le
documenter et le soumettre à l'arbitrage de la Cour. Affirmer simplement que le
Gabon réagira en exigeant que la frontière soit ramenée à celle définie par la
convention de 1900 entre la France et l'Espagne est intenable. Car, si tel
était le cas, le Gabon devrait alors se préparer à céder le Woleu-Ntem au
Cameroun et le Haut-Ogooué au Congo-Brazzaville. Un ministre sérieux ne peut
pas tenir de tels propos.
Le Gabon a été mal
représenté et défendu devant la Cour Internationale de Justice. Le dossier
gabonais était un gruyère et les spécialistes Equato-Guineen l’ont démontré.
Quand on perd 14 contre 1, c’est que l’on n’est pas au niveau et au lieu de
bomber le torse, il faut se ranger la queue entre les jambes et accepter de
retourner à ses études, toute médiocrité constatée !

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