TO THESE AFRICANS WHO THINK THAT TRUMP IS THEIR ALLY! À CES AFRICAINS QUI PENSENT QUE TRUMP EST LEUR ALLIÉ !
English version
White South Africans
granted refugee status by Trump arrive in the U.S.
The
first plane carrying white South Africans who received refugee status from the
Trump administration landed at Washington Dulles International Airport on
Monday morning, according to a flight tracking website.
The
arrival marks a drastic reversal in the United States’ refugee policies, which
have long focused on helping people fleeing war, famine and genocide. President
Trump essentially halted all refugee admissions programs on his first day in
office before creating a pathway for Afrikaners, a white ethnic minority that
ruled during apartheid in South Africa, to resettle in the United States.
The group that arrived Monday
on a U.S.-funded Omni Air International charter flight say they have been
discriminated against, denied job opportunities and have been subject to
violence because of their race. Forty-nine Afrikaners boarded the flight on Sunday,
according to a spokesman for South Africa’s airport authority, after more than
8,000 people expressed interest in the program. There are scant details
available about the individuals who arrived in the United States.
The South Africans who
reached the United States on Monday had received expedited processing by the
Trump administration — waiting no more than three months. Refugee resettlement
before the first Trump administration took an average of 18 to 24 months, according
to the American Immigration Council, an advocacy group for immigrants.
Mr. Trump said on Monday that
the United States was extending citizenship to these individuals, who he said
were victims of a genocide.
“Farmers are being killed,”
he told reporters. “They happen to be white. Whether they are white or Black
makes no difference to me. White farmers are being brutally killed and the land
is being confiscated in South Africa.”
Police data does not support
the narrative of mass murder. From April 2020 to March 2024, 225 people were
killed on farms in South Africa, according to the police. But most of the
victims — 101 — were current or former workers living on farms, who are mostly
Black. Fifty-three of the victims were farmers, who are usually white.
The refugee program has
exacerbated tensions between the United States and South Africa, whose
government has rejected the Trump administration’s claim that the Afrikaners
are eligible for refugee status.
“It is most regrettable that
it appears that the resettlement of South Africans to the United States under
the guise of being ‘refugees’ is entirely politically motivated and designed to
question South Africa’s constitutional democracy,” Chrispin Phiri, a spokesman
for South Africa’s foreign ministry, said in a statement.
Stephen Miller, the White
House deputy chief of staff who has overseen the administration’s immigration
policy, said the situation in South Africa “fits the textbook definition of why
the refugee program was created.”
“This is persecution based on
a protected characteristic — in this case, race,” he said, “This is race-based
persecution.”
In February, Mr. Trump signed an executive over suspending all foreign
assistance to South Africa and announced his administration would work to
resettle “Afrikaner refugees” because of the South African government’s actions
that “racially disfavored landowners.”
Mr. Trump was referring to a
law, known as the Expropriation Act, which allows the government in some
cases to acquire privately held land in the public interest without paying
compensation. But that step can be done only after a justification process
subject to judicial review.
Ronald Lamola, South Africa’s
foreign minister, has likened the law to eminent domain in the United States.
Analysts say the law has many checks and balances to prevent abuse. The most
likely application, analysts say, will be to take land that is not in use.
The Trump administration has
also criticized the South African government for its condemnation of Israel
over the war in Gaza and its close relationship with Iran. South Africa has
brought a genocide case against Israel at the International Court of Justice.
Version française
Des Sud-Africains blancs ayant reçu le statut de
réfugié de Trump arrivent aux États-Unis
Le premier avion transportant des
Sud-Africains blancs ayant reçu le statut de réfugié de l'administration Trump
a atterri à l'aéroport international de Washington Dulles lundi matin, selon un
site Web de suivi des vols.
Cette arrivée marque un revirement radical
dans la politique des États-Unis en matière de réfugiés, qui s'est longtemps
concentrée sur l'aide aux personnes fuyant la guerre, la famine et le génocide.
Le président Trump a essentiellement mis fin à tous les programmes d'admission
de réfugiés dès le premier jour de son mandat avant de créer une voie pour les
Afrikaners, une minorité ethnique blanche qui dirigeait pendant l'apartheid en
Afrique du Sud, pour se réinstaller aux États-Unis.
Le groupe qui est arrivé lundi à bord d'un
vol charter d'Omni Air International financé par les États-Unis affirme avoir
été victime de discrimination, s'être vu refuser des opportunités d'emploi et
avoir été victime de violence en raison de sa race. Quarante-neuf Afrikaners
ont embarqué dimanche, selon un porte-parole de l'autorité aéroportuaire
sud-africaine, après que plus de 8000 personnes aient exprimé leur intérêt pour
le programme. Il y a peu de détails disponibles sur les personnes qui sont
arrivées aux États-Unis.
Les Sud-Africains qui ont atteint les
États-Unis lundi avaient bénéficié d'un traitement accéléré de la part de
l'administration Trump, n'attendant pas plus de trois mois. La réinstallation
des réfugiés avant la première administration Trump prenait en moyenne de 18 à
24 mois, selon le Conseil américain de l'immigration, un groupe de défense des
immigrants.
M. Trump a déclaré lundi que les États-Unis
accordaient la citoyenneté à ces personnes, qui, selon lui, étaient victimes
d'un génocide.
« Des agriculteurs sont tués »,
a-t-il déclaré aux journalistes. « Il se trouve qu'ils sont blancs. Qu'ils
soient blancs ou noirs ne fait aucune différence pour moi. Des fermiers blancs
sont brutalement tués et les terres sont confisquées en Afrique du Sud.
Les données de la police ne soutiennent pas
le récit des meurtres de masse. D'avril 2020 à mars 2024, 225 personnes ont été
tuées dans des fermes en Afrique du Sud, selon la police. Mais la plupart des
victimes – 101 – étaient des travailleurs actuels ou anciens vivant dans des
fermes, qui sont pour la plupart noirs. Cinquante-trois des victimes étaient
des agriculteurs, qui sont généralement blancs.
Le programme de réfugiés a exacerbé les
tensions entre les États-Unis et l'Afrique du Sud, dont le gouvernement a
rejeté l'affirmation de l'administration Trump selon laquelle les Afrikaners
sont éligibles au statut de réfugié.
« Il est très regrettable qu'il semble
que la réinstallation de Sud-Africains aux États-Unis sous le couvert de
'réfugiés' soit entièrement motivée par des considérations politiques et vise à
remettre en question la démocratie constitutionnelle de l'Afrique du
Sud », a déclaré Chrispin Phiri, porte-parole du ministère sud-africain
des Affaires étrangères, dans un communiqué.
Stephen Miller, le chef de cabinet adjoint
de la Maison-Blanche qui a supervisé la politique d'immigration de
l'administration, a déclaré que la situation en Afrique du Sud « correspond à
la définition classique de la raison pour laquelle le programme de réfugiés a
été créé ».
« Il s'agit d'une persécution fondée sur
une caractéristique protégée – dans ce cas, la race », a-t-il dit, « il s'agit
d'une persécution fondée sur la race ».
En février, M. Trump a signé un
décret sur la suspension de toute aide étrangère à
l'Afrique du Sud et a annoncé que son administration s'efforcerait de
réinstaller les « réfugiés afrikaners » en raison des actions du gouvernement
sud-africain qui « défavorisaient racialement les propriétaires terriens ».
M. Trump faisait référence à une loi,
connue sous le nom de Loi sur l'expropriation, qui permet au gouvernement dans certains cas d'acquérir des terres
privées dans l'intérêt général sans payer d'indemnisation. Mais cette étape ne
peut être prise qu'à l'issue d'un processus de justification soumis à un
contrôle judiciaire.
Ronald Lamola, le ministre sud-africain des
Affaires étrangères, a comparé cette loi à celle des expropriations aux
États-Unis. Selon les analystes, la loi comporte de nombreux freins et
contrepoids pour prévenir les abus. Selon les analystes, l'application la plus
probable sera de prendre des terres qui ne sont pas utilisées.
L'administration Trump a également critiqué
le gouvernement sud-africain pour sa condamnation d'Israël pour la guerre à
Gaza et ses relations étroites avec l'Iran. L'Afrique du Sud a indexé Israël pour
génocide auprès de la Cour internationale de justice.

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