THE PRESIDENCY OF ANGOLA HAS DELIBERATELY HUMILIATED GABON ! LA PRÉSIDENCE DE L’ANGOLA A VOLONTAIREMENT HUMILIÉ LE GABON !

 

 

English version

It was in the night of Friday May 16th 2025 that  Ali Bongo and his family arrived in Angola on board an Angolan presidential plane. This blog has contacted a few people in position to provide some clarity from the Angolan side.

 

Apparently, since the announcement of the coup d'état on August 30, 2023, Angolan President João Manuel Gonçalves Lourenço had energetically manifested his opposition to the seizure of power by C'BON, as he had a very good relationship with Ali Bongo and his family. It was his lobbying that was responsible for the sanctions initially applied against Gabon.

 

During the transition, C'BON went to all the capitals of Central Africa, except that of Angola where he was persona non grata. Since then, discussions have been initiated by the two parties, with and between people, Congo Brazzaville, which has good and historic relations with Angola.

 

An agreement was eventually reached: the freedom of the Bongo-Valentin family, in exchange for the lifting of sanctions against Gabon and the recognition of C'BON as president of Gabon. But with one clause: all this after the presidential election. Deal done!

 

João Manuel Gonçalves Lourenço did not attend the inauguration of C'BON, preferring to be represented. On the other hand, it was he himself who, a few days later, came to Gabon in private mission to meet the Bongo-Valentins who were already gathered at Ali Bongo's home, to tell them about the upcoming program, that is to say their imminent move from Libreville to Luanda. During this visit, the Gabonese authorities asked President João Manuel Gonçalves Lourenço to keep this exfiltration secret so as not to provoke protests in Gabon.

 

After going back to Luanda, João Manuel Gonçalves Lourenço sent an Angolan presidential jet to Libreville to pick up the Bongo Valentins. It was in the dark, to avoid prying eyes, that a team from the GR took the Bongo-Valentins to the air force base where this plane was waiting for them. Boarding was done in the dark, without going through the customs formalities. The car carrying the Bongo Valentin arrived at the ladder of the plane and the occupants were placed on board very quickly.

 

When the Bongo-Valentins arrived in Luanda, a TV crew was there to capture their arrival and President João Manuel Gonçalves Lourenço decided to renegue on his agreement with C’BON of not publishing this news. Shortly after, the Facebook page of the Angolan presidency displayed pictures of the arrival, and an Angolan TV channel showed the arrival. The secret was divulged. C’BON had been embarrassed and humiliated.

 

Totally unprepared for this matter to get out so quickly, C'BON and his courtesans were knocked out by the Angolan Presidency. The pitiful attempt of a prosecutor to come and read a shaky law was for nothing. João Manuel Gonçalves Lourenço had his revenge, the deep ramifications of which had only just begun. According to our sources, the Bongo-Valentins and their Angolan friends are far from having said their last word.

 

 

 

 

 

Version française

C'est dans la nuit du vendredi 16 mai 2025 qu'Ali Bongo et sa famille sont arrivés en Angola à bord d'un avion présidentiel angolais. Ce blog a contacté plusieurs sources en Angola pour obtenir des éclaircissements.

 

Apparemment, dès l'annonce du coup d'État du 30 août 2023, le président Angolais, João Manuel Gonçalves Lourenço, avait exprimé son opposition à la prise de pouvoir par C’BON, car il entretenait de très bons rapports avec Ali Bongo et sa famille. Son lobbying aurait été responsable des sanctions initialement appliquées contre le Gabon.

 

Pendant la transition, C’BON s’est rendu dans toutes les capitales d’Afrique Centrale, à l'exception de Luanda, où il était persona non grata. Depuis lors, des discussions ont été engagées par les deux parties, avec la médiation du Congo Brazzaville, qui entretient de bonnes relations historiques avec l’Angola.

 

Un accord aurait finalement été trouvé : la libération de la famille Bongo-Valentin en échange de la levée des sanctions contre le Gabon et de la reconnaissance de C’BON comme président au pouvoir, mais seulement après l’élection présidentielle. Affaire conclue !

 

João Manuel Gonçalves Lourenço n’a pas assisté à l’investiture du nouveau président, préférant se faire représenter. En revanche, quelques jours plus tard, il s'est rendu en visite privée au Gabon pour rencontrer les Bongo-Valentin, qui étaient déjà réunis au domicile d’Ali Bongo. Il leur aurait alors fait part du programme à venir, à savoir leur imminent déménagement de Libreville vers Luanda. Lors de cette visite, les autorités gabonaises auraient demandé au président João Manuel Gonçalves Lourenço de garder cette exfiltration secrète afin d'éviter des protestations au Gabon.

 

De retour à Luanda, João Manuel Gonçalves Lourenço a dépêché un jet présidentiel angolais à Libreville pour récupérer les Bongo-Valentin. C’est dans la discrétion, pour éviter les regards, qu’une équipe de la Garde Républicaine a conduit les Bongo-Valentin à la base aérienne où l'avion les attendait. L’embarquement s’est fait dans le noir, sans passer par les formalités de police. La voiture transportant les Bongo-Valentin est arrivée au pied de l’avion et les occupants ont été installés à bord très rapidement.

 

À leur arrivée à Luanda, une équipe de télévision était présente pour filmer les Bongo-Valentin. Le président João Manuel Gonçalves Lourenço aurait alors décidé de revenir sur son accord avec C’BON de ne pas divulguer cette information. Peu de temps après, la page Facebook de la présidence Angolaise a diffusé des images de l'arrivée, et une chaîne de télévision Angolaise a également montré l'événement. Le secret était éventé. C’BON a été embarrassé et humilié.

 

Totalement pris de court par cette divulgation rapide, C’BON et ses partisans ont été déstabilisés par la présidence angolaise. La tentative maladroite d’un procureur de justifier une action légale bancale a été vaine. João Manuel Gonçalves Lourenço tenait sa revanche, dont les conséquences profondes ne font que commencer. D’après nos sources, les Bongo-Valentin et leurs alliés Angolais sont loin d’avoir dit leur dernier mot.