THE BONGOS AND THE KING OF MOROCCO HAVE USED FARGEON TO CLEAN UP THE ROAD FOR NOURREDINE. LES BONGO ET LE ROI DU MAROC ONT UTILISÉ FARGEON POUR DÉBLAYER LA ROUTE À NOURREDINE

English version

Dear readers, we told you several months ago that Fargeon’s ascension was just a way to save time, to prepare Nourredine to pick up his goods, that is to say Gabon. The regime needed a useful idiot; and this role did fit Fargeon like a glove.

The Gabonese people have definitively lost Gabon. Today, the only Gabonese personality who has influence in the affairs of Gabon is Mborantsuo. Period. All the other Gabono-Gabonese are today only bystanders who decide nothing and suffer what the true masters of Gabon want them to suffer.

Dear readers, ask yourself who made Fargeon King? Who gave Fargeon the keys to the truck and told him "do as you please, have fun!"

This plot was well crafted. Fargeon was only a minion sent to cause the circumstances of a purge at the top of the state that would allow Nourredine to settle as easily as comfortably in power.

Dear compatriots, the president of Gabon today is Nourredine Bongo, surrounded by his mother and his French and Moroccan advisers. In this apparatus, there is no actual Gabonese who is someone of influence. The first power circle in Gabon is Moroccan, French and Beninese. Even the Gabonese Bongos (those who have Negro-African mother and father), are only figurative, starting with Pascaline Bongo.

Dear readers, the masters of Gabon did open all the power of the state to Fargeon, for what purpose? But exactly to create the current confusion. While Fargeon was amusing the Gabonese people and corrupting people to better compromise and neutralize them, Nourredine was in Morocco undergoing his various initiations to the presidential office. Fargeon's mission was a great success and while the entire Gabonese administration looks at itself wondering what is going on, Nourredine quietly settles into the presidency.

We are going for a century of Bongos in power!

We will not give up!

Version française

Chers lecteurs, nous vous disions il y a plusieurs mois que la mise en place de Fargeon n’était qu’une manière de gagner du temps, pour préparer Nourredine à venir ramasser son bien, c’est-à-dire le Gabon. Il fallait au régime un idiot utile ; et ce rôle allait à Fargeon comme un gant.

Les Gabonais ont définitivement perdu le Gabon. Aujourd’hui, la seule personnalité Gabonaise qui a de l’influence dans les affaires du Gabon, c’est Mborantsuo. Point final. Tous les autres Gabono-Gabonais ne sont aujourd’hui que des lampistes qui ne décident de rien et subissent ce que les vrais maitres du Gabon veulent leur faire subir.

Chers lecteurs, posez vous la question de savoir qui a fait Fargeon roi ? Qui a donné a Fargeon les clés du camion et lui a dit « fait comme tu veux, prend ton pied ! »

Cette affaire a été bien manigancée. Fargeon n’a été qu’un subalterne envoyé pour venir provoquer les circonstances d’une purge au sommet de l’Etat qui permettrait à Nourredine de s’installer aussi facilement que confortablement au pouvoir.

Chers compatriotes, le président du Gabon aujourd’hui c’est Nourredine Bongo, entouré de sa mère et de ses conseillers Français et Marocains. Dans ce dispositif, il n’y a aucun Gabonais pure coton qui soit quelqu’un d’influent. Le premier cercle de pouvoir au Gabon est Marocain, Français et Béninois. Mêmes les Bongo Gabonais (les négro-africains de père et mère), ne font plus que de la figuration, à commencer par Pascaline Bongo.

Chers lecteurs, les maitres du Gabon ont ouvert toute la puissance de l’Etat a Fargeon, à quel but ? Mais exactement pour créer la confusion actuelle. Pendant que Fargeon amusait les Gabonais et corrompait les gens à tour de bras pour mieux les compromettre et donc les neutraliser, Nourredine lui était au Maroc en train de subir ses diverses initiations à la fonction présidentielle. La mission de Fargeon a été un franc succès et pendant que toute l’administration Gabonaise se regarde en chien de faïence, Nourredine s’installe tranquillement à la présidence.

Nous sommes partis pour un siècle des Bongo au pouvoir !

On ne lâche rien !