THERE IS NO NEED TO CALL ON AUBAMEYANG BECAUSE HE IS A GLADIATOR AT THE SERVICE OF THOSE WHO PAY HIM! IL EST INUTILE D’INTERPELER AUBAMEYANG CAR C’EST UN GLADIATEUR AU SERVICE DE CELUI QUI LE PAIE !
English version
Dear readers, many of you have send email asking this blog to comment on Aubameyang’ silence on the situation in Gabon. Our answer is that to expect Aubameyang to become an activist is a mistake, because he is paid a lot of money to entertain people and he would never jeopardize his career to bring attention to how the Bongo family is mismanaging Gabon.
The American writer Del Jones wrote the following about why some black American athletes never talk about the mistreatment of their fellow black by the establishment:
“Our warrior spirit is misused in the service of the very system that keeps us in bondage. Our warrior spirit must be expressed, and, in our madness, it is expressed against each other with swift violence. We are out of control.
Our toes are tenderer when another African steps on them. Our patience is shorter when dealing with another African. Our blood seldom spills for African causes, but runs freely for the maintenance of global white supremacy. We are indeed insane”
Version française
Chers lecteurs, vous êtes nombreux à nous avoir envoyé des e-mails demandant à ce blog de commenter le silence d’Aubameyang sur la situation au Gabon. Notre réponse est que s'attendre à ce qu'Aubameyang devienne un activiste soit une erreur, car il est grassement payé pour divertir les gens ; et il ne mettrait jamais sa carrière en péril pour attirer l'attention des media sur la façon dont la famille Bongo gère le Gabon.
L'écrivain américain Del Jones a écrit ce qui suit sur les raisons pour lesquelles certains athlètes Noirs Américains ne parlent jamais des mauvais traitements infligés à leurs compatriotes Noirs par l'establishment:
«Notre esprit guerrier est mal utilisé au service du système même qui nous maintient en esclavage. Notre esprit guerrier doit s'exprimer et, dans notre folie, il s'exprime en nous opposant les uns contre les autres avec une violence inouïe. Nous sommes déboussolés.
Nos orteils sont plus tendres quand un autre africain nous marche dessus. Notre patience est plus courte lorsque nous traitons avec un autre Africain. Notre sang se répand rarement pour des causes africaines, mais coule librement pour le maintien de la suprématie blanche mondiale. Nous sommes vraiment fous »
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