GABON IS DE FACTO UNABLE TO PAY ITS BILLS! LE GABON EST DE FACTO EN CESSATION DE PAIEMENT !
Les fonctionnaires réclamant leurs salaires devant la Poste
English version
Every day, the signs are there, so familiar. Here we see retired people, exhausted, leaning on a barrier in order not to collapse in the long queue leading to the administrative department that must pay their pensions that are only paid sporadically nowadays. There, we see civil servants in Oyem, Libreville and Port-Gentil, who wait in front of banks or governments offices, because their wages have still not been paid.
The press tells us that Post Bank is seeking 61 billion CFA francs to be bailed out; that is less than the cost of the mansion Pozzo di Borgo, which Ali Bongo bought in Paris. Even Akanda FC, Ali Bongo’s football team, that Frédérique Gassita manages for him, has been unable for a year to pay its players.
Dear readers, these signs indicate clearly that Gabon is insolvent because it is noted that imports are brought with difficulty, that wages are not paid regularly and especially that a wave of layoffs has started in the private sector.
Such is the economic reality of Gabon today!
Version française
Tous les jours, les signes sont là, si familiers. Ici on voit des retraités, éreintés, s’appuyant sur une barrière pour ne pas s’écrouler dans la longue file d’attente menant au service administratif devant régler leurs pensions qui n’arrivent plus qu’épisodiquement. Là ce sont des fonctionnaires à Oyem, Libreville ou Port-Gentil, qui font le pied de grue devant les banques ou les administrations, car leurs salaires ne tombent toujours pas.
La presse nous apprend que Post-Bank serait à la recherche de 61 milliards de francs CFA pour se renflouer ; c'est-à-dire moins du cout de l’hôtel particulier Pozzo di Borgo, que s’était offert Ali Bongo à Paris. Même FC Akanda, l’équipe de football d’Ali Bongo, que lui manage par procuration Frédérique Gassita, n’est plus en mesure depuis un an, de payer ses joueurs.
Chers lecteurs, ces signes nous indiquent clairement que le Gabon soit en cessation de paiement, car on remarque que les importations se font avec difficulté, que les salaires ne sont plus versés avec régularité et surtout qu’une vague de licenciements a commencé dans le privé.
Ainsi se présente la réalité économique du Gabon aujourd’hui !
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