NDEMEZO’OBIANG DUSTS UP AN OLD PROPOSAL THAT NO ONE BELIEVES ANYMORE. NDEMEZO’OBIANG ÉPOUSSETTE UN VIEUX DISCOURS DONT PLUS PERSONNE NE CROIT !
English version
The lines are long outside Gabonese banks, with civil servants trying to find out if they could cash their wages. The schools are still closed. These days Ali Bongo, being so unpopular at home and abroad, dares not leave his comfortable palace of Libreville. But this is paradoxically the time René Ndemezo’Obiang is suggesting we should be conciliatory toward Ali Bongo’s murderous regime. This is insane!
During a press conference, René Ndemezo’Obiang presented arguments that were a throwback to when the Gabonese people might have still believed that the Bongo regime could be reasoned with, meaning about 25 years ago; to suggest that for the good of the country, a negotiation with Ali Bongo was the way to go. This is precisely the wrong approach to take since we can all see that the Ali Bongo regime is unraveling and crumbling. What René Ndemezo’Obiang is proposing is to throw a lifeline to Ali Bongo and to save his regime. This is unacceptable!
When René Ndemezo'Obiang says: "We see no other way out of the current situation, we want once more, to get back to work, to require, to initiate and impose reforms that will make tomorrow better today "; he believes us to be naive enough to accept the same promises that Omar Bongo made to the Gabonese people, telling them that tomorrow would be better than today. No, there is no possible dialogue with Ali Bongo and the only reform that is worth today is that of the removal of Ali Bongo and his departure from Gabonese politics. There is nothing else to negotiate with him.
Version francaise
Les queues sont longues devant les banques gabonaises, constituées par des fonctionnaires essayant de savoir s’ils pouvaient recevoir leurs salaires. Les écoles sont toujours fermées. Par les temps qui courent, Ali Bongo, étant si impopulaire au Gabon et à l'étranger, n’ose plus quitter le confort de son palais de Libreville. Mais paradoxalement, c’est ce moment que choisi René Ndemezo'Obiang pour nous suggérer d’être conciliants envers le régime meurtrier d'Ali Bongo. C'est insensé!
Lors d'une conférence de presse, René Ndemezo'Obiang a présenté des arguments nous ramenant à une époque où le peuple gabonais auraient encore cru que l’on pouvait raisonner avec le régime Bongo, c'est-à-dire il y a environ 25 ans; en suggérant que pour le bien du pays, une négociation avec Ali Bongo était la voie à suivre. C’est précisément la mauvaise approche à adopter, puisque nous pouvons tous voir que le régime Ali Bongo se délite et s'effrite devant nous. Ce que René Ndemezo'Obiang propose est de jeter une bouée de sauvetage à Ali Bongo pour sauver son régime. C'est inacceptable!
Quand René Ndemezo'Obiang déclare : «Nous ne voyons pas d’autre issue à la situation actuelle, nous voulons encore une fois, nous remettre à l’ouvrage, exiger, initier et imposer des réformes qui feront que demain soit meilleur qu’aujourd’hui» ; il nous croit assez naïf pour accepter les mêmes promesses qu’Omar Bongo avait fait aux Gabonais en leur promettant que demain soit meilleur qu’aujourd’hui. Non, il n’y a pas de dialogue possible avec Ali Bongo et la seule réforme qui vaille aujourd’hui est celle de la destitution d’Ali Bongo et à son retrait de la vie politique Gabonaise. Il n’y a rien d’autre à négocier avec lui.
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