THEY CAN DO ANYTHING EXCEPT FORCE YOU TO GO TO THE STADIUMS. ILS PEUVENT TOUT FAIRE, SAUF VOUS FORCER À ALLER DANS LES STADES
English version
Ali Bongo and his accomplices AFCON organizers are working hard in a very tense environment for the tournament to take place in Gabon, as they is talk increasingly of a non-resumption of classes in public institutions before the month of January 2017.
Ali Bongo wants to use football as a party offering to the world the image of a peaceful country back to normal. Yet, at the time to begin the football hostilities of AFCON, the thinking Gabonese heads are elsewhere; in shared memory of the fallen, in thinking of those who are still detained without trial, and in the theft of their votes. The context is extremely tense and social climate deleterious. Security forces are everywhere on the warpath against the Gabonese people.
But for Ali Bongo to give the sports opium to the people, it must be that the people would want to consume that opium, meaning that they would visit the stadiums. However, they cannot force people to go to the stadium. By staying away from stadiums, the Gabonese people will send a message to Ali Bongo wanting that he organizes his AFCON without the Gabonese people who rejected him on 27 August 2016 and on whom he fired.
Version française
Ali Bongo et ses complices organisateurs de la CAN travaillent d'arrache-pied, dans un contexte des plus tendus, pour que le tournoi se déroule au Gabon, alors qu’on parle de plus en plus d’une non reprise des cours dans les établissements d’enseignement publics, avant le mois de Janvier 2017.
Ali Bongo voudrait se servir du ballon rond comme d’une fête offrant au monde l’image d’un pays apaisé revenu à la normale. Pourtant, à l'heure d'entamer les hostilités footballistiques de la CAN, les Gabonais pensants ont la tête ailleurs, partagés entre la mémoire des disparus, ceux qui sont encore incarcérés sans jugement, et le vol de leurs suffrages. Le contexte est extrêmement tendu et le climat social délétère. Les agents de sont partout sur le pied de guerre contre le peuple Gabonais.
Mais pour qu’Ali Bongo puisse donner de l'opium sportif au peuple, il faut bien que ce peuple veuille consommer de cet opium, c'est-à-dire qu’il se rende dans les stades. Cependant, on ne peut pas forcer un peuple à aller au stade. En restant loin des stades, le peuple Gabonais enverra un message clair à Ali Bongo voulant qu’il organise sa CAN sans le peuple Gabonais qui l’a rejeté le 27 Aout 2016 et sur lequel il a tiré.
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