HISTORY WILL REMEMBER THAT BASILE MVÉ HAS BEEN A ROTTEN PRELATE! L’HISTOIRE RETIENDRA QUE BASILE MVÉ AIT ÉTÉ UN PRÉLAT POURRI !
Dear
readers, it is not with pleasure that we come to declare that after a
meticulous examination of the actions of Archbishop Basile Mvé, during all his
service as Archbishop of Libreville, that the latter would have been a
dedicated accomplice of the Bongo dictatorship , in its persecutions and crimes.
We must
understand each other. It is not the Gabonese Catholic Church which is accused
of complicity with the dictatorship, but its main archbishop.
We can say
without exaggeration that Archbishop Basile Mvé, from the top of his ecclesial
hierarchy, systematically ignored the complaints of his faithful about the
persecution inflicted on them by the Bongo regime.
Concretely,
Archbishop Basile Mvé was nonetheless in 2016, a moral accomplice in the
serious violations of human rights by the Bongo regime. These violations were
twofold: the first being the theft of the Gabonese people’s vote; and the
second being the massacres perpetrated by the Bongos against the Gabonese
people.
Instead of
standing alongside the most vulnerable, as recommended by his position as archbishop,
this prelate hastened to organize a mass for the members of the Constitutional
Court who had just validated the theft of the Gabonese people’s vote.
But more
serious still, Archbishop Basile Mvé has never said anything about the
bullet-riddled bodies of young people who were massacred by the regime. At the
very least, Archbishop Basile Mvé was indifferent or even complicit in serious
human rights violations in Gabon; and for that he should explain himself!
Version française
Chers lecteurs, ce n’est pas de gaieté de cœur que nous venons déclarer qu’après
un minutieux examen des actions de Monseigneur Basile Mvé, pendant tout son
service comme archevêque de Libreville, que ce dernier aura été un complice appliqué
de la dictature Bongo, dans ses persécutions et ses crimes.
Il faut bien se comprendre. Ce n’est point l’Eglise catholique Gabonaise qui
est accusée de complicité avec la dictature, mais son principal archevêque.
Nous pouvons affirmer sans exagération que Monseigneur Basile Mvé, du haut
de sa hiérarchie ecclésiale, a systématiquement ignoré les plaintes de ses fidèles
sur les persécutions que leur infligeait le régime Bongo.
Concrètement, Monseigneur Basile Mvé a quand même été en 2016, un complice morale
des graves violations des droits de l’homme par le régime Bongo. Ces violations
étaient de deux ordres : la première étant le vol du vote des Gabonais ;
et la seconde étant les massacres perpétrées par les Bongo contre le peuple
Gabonais.
Au lieu de se tenir aux côtés des plus vulnérables, comme le lui recommandait
sa position d’archevêque, ce prélat s’est empressé d’organiser une messe pour les
membres de la Cour Constitutionnelle qui venaient de valider le vol du vote des
Gabonais.
Mais plus grave encore, Monseigneur Basile Mvé n’a jamais rien dit à propos
des corps criblés de balles des jeunes gens qui furent massacrés par le régime.
Au bas mot, Monseigneur Basile Mvé a été indifférente voire complice de graves
violations des droits de l’homme au Gabon ; et de cela il devrait s’en
expliquer !
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