IN GABON, THE GOLD BELONGS TO MOROCCO, THIS IS WHY TRADITIONAL GOLD MINERS ARE HUNTED! AU GABON, L’OR APPARTIENT AU MAROC, VOICI POURQUOI LES ORPAILLEURS TRADITIONNELS SONT TRAQUÉS !
Traditional
gold mining in Gabon, from Minkébé in the north to Etéké in the south, has for
decades been an economic boon for populations neglected by the government.
These populations have been able to live in a semi-autonomous way, thanks to
this economic activity which gives these regions a certain social stability.
Since Ali
Bongo came to power, the tentacles of Morocco have invaded the gold sector in
Gabon and given that traditional gold miners extract more than 40 times what
the Gabonese state manages to produce with its means, however more important
than those of the gold miners, Moroccans do not want to hear about these
traditional gold miners and their Gabonese vassals, that is to say the Ali
Bongo regime, has promised them to rid Morocco of these harmful competitors. This
is why the Gabonese gold miners are hunted down on their own soil.
Far from
the cities, the populations who engage in traditional gold mining are deprived
of social, educational, economic and health infrastructure; and must live in
the greatest precariousness. Gold mining is often the only lucrative and honest
business open to them.
The wealth
of Gabon's soil should belong first to the local populations. It is
inadmissible to burn the villages of traditional gold miners, to dislodge them,
so that the Moroccans can exploit the gold that should go to the Gabonese
people. A regime which kills its own population to make room for foreigners is
simply committing genocide. To make room for Morocco, the Ali Bongo regime is
ready to cause genocide in Gabon.
As a
reminder, the kilogram of gold sells on the international market for 49,259
euros, or 32,183,266 CFA francs. How many tons of gold leave Gabon towards
Morocco, without any control by our authorities? The problem in Gabon is
Morocco and not the traditional gold miners!
Version française
L’orpaillage traditionnel au Gabon, de Minkébé
au Nord jusqu’à Etéké dans le Sud, est depuis des décennies une aubaine
économique pour les populations délaissées par le gouvernement. Ces populations
peuvent vivre de manière semi autonome, grâce à cette activité économique qui
donne à ces régions une certaine stabilité sociale.
Depuis l’arrivée d’Ali Bongo au pouvoir, les
tentacules du Maroc ont envahi le secteur de l’or au Gabon et vu que les
orpailleurs traditionnels extraient plus de 40 fois ce que l’Etat Gabonais
arrive à produire avec ses moyens pourtant plus importants que ceux des
orpailleurs, les Marocains ne veulent pas entendre parler de ces orpailleurs
traditionnels et leurs vassaux Gabonais, c’est-à-dire le régime Ali Bongo, leur
a promis de débarrasser le Maroc de ces nuisibles concurrents. Voici comment,
les orpailleurs Gabonais sont traqués sur leur propre sol.
Loin des villes, les populations qui se
lancent dans l’orpaillage traditionnel sont privées d’infrastructures sociales,
éducatives, économiques et sanitaires ; et doivent vivre dans la plus
grande précarité. L’extraction de l’or est souvent l’unique activités lucrative
et honnête qui s’ouvre à eux.
La richesse du sous-sol Gabonais devrait
appartenir d’abord aux populations locales. Il est inadmissible de bruler des
villages d’orpailleurs traditionnels, pour les déloger, afin que les marocains
exploitent l’or qui devrait revenir au peuple Gabonais. Un régime qui tue sa
propre population pour faire de la place a des étrangers, se livre simplement à
un génocide. Pour faire de la place au Maroc, le régime Ali Bongo est prêt à causer
un génocide au Gabon.
A titre de rappel, le kilogramme d’or se vend
sur le marché international à 49259 euros, soit 32183266 francs CFA. Combien de
tonnes d’or sortent du Gabon vers le Maroc, sans aucun contrôle par nos autorités ?
Le problème au Gabon, c’est le Maroc et non les orpailleurs traditionnels !
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