THE BIG MOUTHS OF EMERGENCE ARE NEVER WHERE WE EXPECT THEM! LES GRANDES GUEULES DE L’ÉMERGENCE NE SONT JAMAIS LÀ OÙ ON LES ATTEND !
English version
Dear
readers, the above images are not of day laborers who are picked up on a street
corner for a one-time, one day, of very poorly paid rough labor. No, these
images show you the ordeal of high school students of Medouneu, embarking to
take the baccalaureate exam at the Oyem examination center.
When
looking at the transportation conditions, one can only worry about their
accommodation conditions in Oyem. What are they going to eat? Maybe their mom
packed them some little treats. But most importantly, these images allow us to
assess what the concept of equal opportunities is in the land of the Bongos.
The
sad thing is that the Ali Bongo regime requires these young people to have the
baccalaureate with an average of 12/20 if they can claim to be supported in
their higher education. How can one go and pass the baccalaureate under such
conditions and come back with excellent results in a systematic way?
May
those who like to sing the praises of the Bongo regime come and explain to us
why in 2021, Gabonese students are still reduced to this appalling treatment?
We are waiting for them!
Chers lecteurs, les images ci-dessus ne sont
pas celles d’ouvriers tacherons journaliers qu’on ramasse à un coin de rue pour
un labeur ponctuel, journalier et très sommairement payé. Non, ces images vous présentent
le calvaire des élèves de terminale de Medouneu, s’embarquant pour aller passer
le baccalauréat au centre d’examen d’Oyem.
Quand on regarde les conditions de transport,
on ne peut que s’inquiéter de ce que seront leurs conditions d’hébergement à
Oyem. Que vont-ils manger ? Peut-être que leur maman leur ont emballé des
petits mets au paquet. Mais le plus important est que ces images nous permettent
d’évaluer ce qu’est le concept de l’égalité des chances au pays des Bongo.
Le plus triste est que le régime Ali Bongo
demande a ces jeunes d’avoir le baccalauréat avec une moyenne de 12/20 s’ils
peuvent prétendre à être soutenu dans leurs études supérieures. Comment peut-on
aller passer le bac dans de telles conditions et en revenir avec des résultats
excellents de manière systématique ?
Que ceux qui aiment chanter les louanges du régime Bongo viennent nous expliquer pourquoi en 2021, les élèves Gabonais en sont encore réduits a ce révoltant traitement ? Nous les attendons !
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