THE GABONESE STATE IS ENGAGING IN THE LAND DEPOSSESSION OF THE GABONESE PEOPLE AND THEREFORE IN THE EMPOVERISHMENT OF THE COUNTRY'S PEASANTRY! L’ÉTAT GABONAIS SE LIVRE À LA DÉPOSSESSION FONCIÈRE DU PEUPLE GABONAIS ET DONC À LA PAUPÉRISATION DE LA PAYSANNERIE DU PAYS.

 

 

 

English Version

 

The Bongo regime has often wanted to spread the image of a governance respectful of what the Gabonese populations already own. But unfortunately, the realities experienced by the Gabonese people are less reassuring.

 

Indeed, by bayonet and lead, land colonization is underway in Gabon. In the Estuary, the indigenous populations have already lost Pointe Denis, Nonyé, neighborhoods like Glass and Louis; they are in the process of losing Cap Esterias and the areas of Bikélé.

 

The phenomenon is identical in the interior of the country, where the Olam / Arise nebula is rife; and where the king of Morocco systematically gets hold of all the gold that might be there.

 

For the Gabonese people, land represented their only historical wealth. Today millions of hectares of good land have been taken from them and as a result, these people are poorer today than they were during the colonial period. To justify this land transfer, the good apostles of the Bongo regime claimed that the land was not cultivated or operated rationally. But today no one can really see how this dispossession has benefited the Gabonese economy.

 

For the Gabonese populations, the acts of the Bongo regime all converge on the confiscation of the richest and most agreeable lands, the restriction of rangelands and rights of use in the forests, by our peasants. In short, to the impoverishment of the Gabonese peasantry.

 

 

 

 

 

Version française

 

Le régime Bongo a souvent voulu répandre l'image d'une gouvernance respectueuse des acquis des populations Gabonaises. Mais malheureusement, les réalités vécues par les Gabonais sont moins rassurantes.

 

En effet, par la baïonnette et le plomb, une colonisation terrienne est en cours au Gabon. Dans l’Estuaire, les populations autochtones ont déjà perdu la Pointe Denis, Nonyé, les quartiers comme Glass et Louis ; elles sont en train de perdre le Cap Esterias et les zone de Bikélé.

 

Le phénomène est identique a l’intérieur du pays, ou sévit la nébuleuse Olam/Arise ; et ou le roi du Maroc fait systématiquement main basse sur tout l’or qui pourrait s’y trouver.

 

Pour le peuple Gabonais, la terre représentait sa seule richesse historique. Aujourd’hui, des millions d'hectares de bonnes terres lui ont été arrachés et par conséquent ce peuple est plus pauvre aujourd‘hui qu’il ne l’était pendant la période coloniale. Pour justifier ce transfert des terres, les bons apôtres du régime Bongo ont prétendu que les terres n'étaient pas cultivées, ou exploite de manière rationnelle. Mais aujourd’hui personne ne voit réellement en quoi cette dépossession a été bénéfique à l’économie Gabonaise.

 

Pour les populations Gabonaises, les actes du régime Bongo convergent tous vers la confiscation des terres les plus riches et agréables, la restriction d'espaces de parcours et les droits d'usage dans les forêts, par nos paysans. En résumé, à l’appauvrissement de la paysannerie Gabonaise.