RESPECT IN THE FACE OF DEATH DOES NOT MEAN COMPLACENCY! LE RESPECT DEVANT LA MORT NE VEUT PAS DIRE QU’ON SOIT COMPLAISANT
Antoine de Padoue Mboumbou-Miyakou is dead;
We respect his departure and the grief of his family.
Nevertheless, the truth compels us to say that on the tombstone of
Antoine de Padoue Mboumbou-Miyakou, should be inscribed: "Here lies, the
one who in 1993 proclaimed false results of the presidential election".
Before history, the duty of remembrance requires us to conform to the
strict truth. Our leaders should be judged by their achievements, by their
strengths and weaknesses. Honoring someone after their death doesn't mean that
they should be portrayed as being perfect, in fact their flaws should be
highlighted, if these flaws had a significant impact on the country.
It is not unfair to hold Antoine de Padoue Mboumbou-Miyakou responsible
for the persistence of Bongo’s dictatorship. So, unlike others, he made the choice
to not rise above what Omar Bongo wanted and side with the Gabonese people. No,
he chose to remain loyal to the dictatorship.
This blog, in keeping with its mission to always tell the truth, is of
the opinion that Antoine de Padoue Mboumbou-Miyakou belongs to the Gabonese dustbin
of history.
Version française
Antoine de Padoue
Mboumbou-Miyakou est mort ; nous respectons sa sépulture et la peine qu’éprouve
sa famille.
Néanmoins, la vérité nous
oblige à dire que sur la pierre tombale d’Antoine de Padoue Mboumbou-Miyakou, devrait
être inscrit : « Ci-git, celui qui en 1993 proclama des faux résultats de
l’élection présidentielle ».
Devant l’histoire, le devoir
de mémoire nous demande de nous conformer à la stricte vérité. Nos dirigeants
devraient être jugés sur leurs états de service, sur leurs forces et leurs
faiblesses. Honorer quelqu'un après sa mort ne signifie pas qu'il doive être
dépeint comme étant parfait ; en fait ses défauts doivent être mis en
évidence, si ces défauts ont eu un impact significatif sur le pays.
Il n'est pas injuste de
tenir Antoine de Padoue Mboumbou-Miyakou pour responsable de la persistance de
la dictature Bongo. Ainsi, contrairement à d'autres, il a fait le choix de ne
pas s'élever au-dessus de ce que voulait Omar Bongo et de se ranger du côté du
peuple gabonais. Non, il a choisi de rester fidèle à la dictature.
Ce blog, loyal à sa mission
de toujours dire la vérité, est d'avis qu'Antoine de Padoue Mboumbou-Miyakou
appartienne à la poubelle de l'histoire gabonaise.
Bonjour !
ReplyDeleteLe gabonais est étrange, j'entends certains dire: Qu'est-ce que Mboumbou aurait pû changer? Quelques soit la personne qui aurait été ministre de l'intérieur rien n'aurait changer et de là il commence à citer tout ceux qui ont occupé ce poste jusqu'en 2023 mais là où ces gabonais se trompent c'est que dans la vie le plus important ce n'est pas comment vous commencez qui importe ...Mais comment vous terminer ! De 93 à 2023 il a eu 30 ans pour changer de cap l'a - t- il fait ? Non! André MBA Aubame a réussi à gagner le coeur des gabonais malgré un passé lourd dans le système Bongo-PDG! Voilà des personnes qui ont viré de Cap à 180 degrés à un moment de leur vies pour se ranger du côté des plus faibles, je pourrais aussi citer Mr Jean PING et bien d'autres...Qu'ils ont été sincères ou pas ...le plus important c'est l'image qu'ils laissent dans la mémoire collective du peuple Gabonais ( comme de la dame que vous avez énumérer dans votre billet d'avant hier) la vie est un choix et des gens comme Mboumbou, Marie Madeleine ( la tour de Pise) resteront à jamais dans la poubelle de l'histoire du peuple Gabonais !
La poubelle de l’histoire du Gabon va se remplir ; n’en déplaise à ceux qui veulent accorder à ces bourreaux des circonstances atténuantes.
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