POZZO DI BORGO IS BEING HELD HOSTAGE BY GABON'S CREDITORS! LE POZZO DI BORGO PRIS EN OTAGE PAR LES CRÉANCIERS DU GABON !
English version
Ali Bongo is said to have left many debts to the Gabonese state; So
much so that the country's creditors are now taking the Parisian mansion Pozzo
di Borgo hostage, and blocking its sale by Gabon.
Indeed, the sale of this property is now blocked. Security guards are
on duty in front of the building. Creditors are barring the building because
the Gabonese state owes them 110 million euros (73 billion CFAF).
The creditor in question, Webcor, is claiming this money because of a
construction work never delivered, in Libreville, which it would have signed
with Ali Bongo. The Paris Court of Appeal had rejected Webcor's claims in 2021,
saying that the company had obtained the contract through corruption.
But subsequently, on March 27, 2024, Webcor obtained an order from the
Paris Judicial Court allowing it to send a requisition for the provisional seizure
of this property. This action allows this creditor to play spoilsport in the
sale of the building.
But a second creditor of Gabon, the Lebanese garbage collection company
Averda, has also entered the fray. The debts owed to these two entities would
amount to around 400 million euros (266 billion CFAF), almost double the value
of this property.
These developments have the effect of discouraging potential buyers,
including LVMH CEO Bernard Arnault, former Qatari prime minister and luxury
hotel tycoon Hamad bin Jassem Jabr al-Thani, and businessman Xavier Niel. To
date, none of them has made an offer to Gabon.
Version française
Ali Bongo aurait laisse de
nombreuses ardoises a l’Etat gabonais ; a-telle enseigne que les
créanciers du pays prennent désormais en otage l'hôtel particulier parisien
Pozzo di Borgo, et en bloquent la vente par le Gabon.
En effet, la vente de ce
bien est désormais bloquée. Des vigiles sont en faction devant le bâtiment. Des
créanciers bloquent l’immeuble car l’Etat Gabonais leur devrait 110 millions d’euros
(73 Milliards de FCFA).
Le créancier en question,
Webcor, réclame cet argent à cause d’un chantier jamais livré, à Libreville, qu’il
aurait signé avec Ali Bongo. La cour d'appel de Paris avait rejeté en 2021 les
demandes de Webcor, affirmant que cette société avait obtenu ce contrat grâce à
la corruption.
Mais par la suite, Webcor a
obtenu le 27 mars 2024, une ordonnance du tribunal judiciaire de Paris lui
permettant d’adresser une réquisition de nantissement provisoire de cette propriété.
Cette action permet à ce créancier de jouer les trouble-fêtes dans la vente du
bâtiment.
Mais un deuxième créancier
du Gabon, la société libanaise de ramassage d'ordures Averda, est aussi entré
dans la danse. Les créances dues à ces deux entités se chiffreraient à environ
400 millions d'euros (266 milliards FCFA), soit près du double de la valeur de
cette propriété.
Ces développements ont pour
effet de décourager les potentiels acheteurs, parmi lesquels le PDG de LVMH,
Bernard Arnault, l'ex-premier ministre du Qatar et magnat de l'hôtellerie de
luxe, Hamad bin Jassem Jabr al-Thani, et l’homme d’affaire Xavier Niel. Aucun,
à ce jour, n'a fait d'offre au Gabon.
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