IF YOU WANT TO GET THE BETTER OF ALAIN-CLAUDE BILLIE-BY-NZE, THE WORST THING IS TO WANT TO MUZZLE HIM! SI VOUS VOULEZ AVOIR RAISON D’ALAIN-CLAUDE BILLIE-BY-NZE, LA PIRE DES CHOSES EST DE VOULOIR LE MUSELER !
English version
Do people need to insult and slander Alain-Claude
Billie-By-Nze to make it clear that they are opposed to what he represents?
Everyone knows that in Gabon, Alain-Claude Billie-By-Nze,
Ali Bongo's last Prime Minister, had become the main symbol of the post-truth
era in which the country was immersed under Ali and Sylvia Bongo. Intelligent
people would try to engage in a substantive debate with the representatives of
the fallen regime; but the most obtuse are content to become actual inpector
Javert whose extremism to silence Alain-Claude Billie-By-Nze makes any
statement on their part inaudible.
Even if they consider that under Ali Bongo, the excesses of
Alain-Claude Billie-By-Nze seemed to have reached an unprecedented level,
profoundly distorting the public debate, it is not by asking him almost
systematically to be silent, that they will end up getting the better of him.
Alain-Claude Billie-By-Nze's political opponents must do as
he does, i.e. take their positions to the media. Pointing the finger at
Alain-Claude Billie-By-Nze is useless. He must be contradicted by argument as
effective as his rhetoric.
In an Orwellian reversal, it is amusing to observe that
those who say they support the liberators of Gabon are those who want to forbid
Alain-Claude Billie-By-Nze from enjoying the freedom to express himself.
Ironic, isn't it?
This posture goes beyond all rationality. Alain-Claude
Billie-By-Nze's criticisable positions of yesterday cannot be put forward to
justify his muzzling today; We are witnessing an excess of narrow-mindedness
that does not hide an ideological foundation devoid of logic and all common
sense.
Alain-Claude Billie-By-Nze does not need to be subjected to
a process of demonization that is currently reaching its climax, for the
Gabonese to distrust him. His actions and words do it better than anything
else. Instead of censoring him, his detractors should let him express himself,
but while contradicting him.
Version française
A-t-on besoin d’insulter
et de calomnier Alain-Claude Billie-By-Nze pour faire comprendre que l’on s’oppose
à ce qu’il représente ?
Tout le monde
sait qu’au Gabon, Alain-Claude Billie-By-Nze le dernier Premier Ministre d’Ali
Bongo était devenu le principal symbole de l’ère de post-vérité dans laquelle
le pays baignait sous Ali et Sylvia Bongo. Des gens intelligents essaieraient d’engager
un débat de fond avec les représentants du régime déchu ; mais les plus obtus
se contentent de devenir de véritable inspecteurs Javert dont le jusqu’au
boutisme à faire taire Alain-Claude Billie-By-Nze rend inaudible toute énoncée
de leur part.
Même si on considère
que sous Ali Bongo, les outrances d’Alain-Claude Billie-By-Nze semblaient avoir
atteint un degré inédit, déformant profondément le débat public, ce n’est pas en lui demandant quasi-systématiquement
de se taire, que l’on finira par avoir raison de lui.
Les adversaires
politiques d’Alain-Claude Billie-By-Nze doivent faire comme lui, c’est-à-dire porter
leurs positions dans les médias. Pointer Alain-Claude Billie-By-Nze du doigt ne
sert à rien. Il faut lui apporter une contradiction aussi argumentée que sa rhétorique.
Dans un
retournement orwellien, il est amusant d’observer que ceux qui disent soutenir les
libérateurs du Gabon, sont ceux qui veulent interdire à Alain-Claude
Billie-By-Nze de jouir de la liberté de s’exprimer. Ironique n’est-ce pas ?
Cette posture dépasse
toute rationalité. Les prises de position critiquables d’Alain-Claude
Billie-By-Nze hier, ne peuvent être mises en avant pour justifier son
musellement aujourd’hui ; nous sommes dans une démesure de l’étroitesse d’esprit
qui occulte mal un fondement idéologique dénué de logique et de tout bon sens.
Alain-Claude
Billie-By-Nze n’a pas besoin d’être soumis à un processus de diabolisation qui
atteint en ce moment son climax, pour que les Gabonais se méfient de lui. Ses
actes et ses mots le font mieux que toute autre chose. Au lieu de le censurer,
ses détracteurs devraient le laisser s’exprimer, mais en lui apportant la contradiction.
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