AN UNSTOPPABLE INDICTMENT THAT HIGHLIGHTS THE BANANA REPUBLIC THAT IS GABON !UN REQUISITOIRE IMPARABLE QUI MET EN ÉVIDENCE LA RÉPUBLIQUE BANANIÈRE QU’EST LE GABON !
English version
The
term "banana republic" was coined by American author O. Henry in his
1904 collection of short stories, "Cabbages and Kings." This word was
inspired by latin america’s countries which economies were heavily reliant on
the export of bananas, and in which foreign corporations exerted significant
influence if not total control over their economics and politics. The term has
since become a metaphor for any country that is heavily dependent on the export
of natural resources, that is politically volatile and is often controlled by a
small oligarchy. Dear readers, Gabon is a classic banana republic.
Opposite
to banana republics, some countries are considered to be "serious countries."
While this moniker can itself be subjective, many experts apply it to countries
that have the following characteristics:
1.
They prioritize their national interests:
serious countries are focused on their own goals and objectives, both
domestically and internationally.
2.
They maintains stable institutions: they have
a stable government, a stable economy, and a stable social order.
3.
They are respected internationally: a serious
country is respected by other nations and plays a significant role in regional
or global affairs. It also adheres to international norms regarding established
rules and regulations governing international relations.
Dear
readers, Gabon is none of these things. In fact, Gabon is what can be called a frivolous
or irresponsible country. For the following reasons:
1.
Gabon prioritizes short-term gains over
long-term strategic goals. It often neglects important issues and engages in
risky behavior for immediate benefits.
2.
Gabon lacks focus and direction: Gabonese
leaders are indecisive and they perennially lack a clear vision for the
country’s future.
3.
Gabon disregards international norms and often
violates treaties or agreements and engage in behavior that is harmful to its
own population according to international standards, explicitly in the issue of
human rights.
4.
Gabon is plagued by weak institutions: everything
is shacky if not shady. There is political discontent, social upheavals,
economic crises, and life uncertainties.
Thanks
to people like Daniel Mengara to remind the Gabonese people of the incoherence
of those who lead the country.
Version française
Le terme « république bananière » a été créé
par l'auteur américain O. Henry dans son recueil de nouvelles de 1904, «
Cabbages and Kings ». Ce mot a été inspiré par les pays d'Amérique latine dont
les économies dépendaient fortement de l'exportation de bananes et dans
lesquels les sociétés étrangères exerçaient une influence significative, voire
un contrôle total, sur leur économie et leur politique. Le terme est depuis
devenu une métaphore pour tout pays fortement dépendant de l'exportation de
ressources naturelles, politiquement instable et souvent contrôlé par une
petite oligarchie. Chers lecteurs, le Gabon est une république bananière
classique.
Contrairement aux républiques bananières,
certains pays sont considérés comme des « pays sérieux ». Bien que ce terme
puisse lui-même être subjectif, de nombreux experts l'appliquent aux pays qui
présentent les caractéristiques suivantes :
1. Ils
donnent la priorité à leurs intérêts nationaux : les pays sérieux se
concentrent sur leurs propres buts et objectifs, tant au niveau national
qu'international.
2. Ils maintiennent
des institutions stables : ils ont un gouvernement stable, une économie stable
et un ordre social stable.
3. Ils
sont respectés au niveau international : un pays sérieux est respecté par
d'autres nations et joue un rôle important dans les affaires régionales ou
mondiales. Il adhère également aux normes internationales concernant les règles
et règlements établis régissant les relations internationales.
Chers lecteurs, le Gabon n'est rien de tout
cela. En fait, le Gabon est ce que l'on peut appeler un pays frivole ou
irresponsable. Pour les raisons suivantes :
1. Le Gabon
privilégie les bénéfices à court terme plutôt que les objectifs stratégiques à
long terme. Il néglige souvent des questions importantes et adopte un
comportement à risque pour des avantages immédiats.
2. Le
Gabon manque de concentration et de direction : Les dirigeants gabonais sont
indécis et ils manquent constamment de vision claire sur l'avenir du pays.
3. Le Gabon
ne respecte pas les normes internationales et viole souvent les traités ou les
accords et adopte un comportement préjudiciable à sa propre population selon
les normes internationales, explicitement en matière de droits de l'homme.
4. Le Gabon
est en proie à des institutions faibles : tout est chaotique voire louche. Il y
a le mécontentement politique, les bouleversements sociaux, les crises
économiques et les incertitudes par rapport à l’avenir.
Merci à des gens comme Daniel Mengara de
rappeler au peuple gabonais l'incohérence de ceux qui dirigent le pays.
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