WHAT IS THE VINTAGE OF THE BIRTH CERTIFICATE ALI BONGO PRESENTED TO LYDIE RÉLONGOUÉ? QUEL EST LE MILLÉSIME DE L’ACTE DE NAISSANCE QU’ALI BONGO A PRÉSENTÉ À LYDIE RÉLONGOUÉ?
English version
In winery language, in the vocabulary of the perfect degustation (which we know the emergent to be fond of), the word "vintage" is used to differentiate the wines harvested in different years. A 2009 vintage will have been grown, harvested and vinified in 2009.
In Gabon, Ali Bongo has presented to date, four documents used as birth certificates. Presentations made during different years, which allows us to say that he produces birth certificates as others produce wine. So we can talk of vintage for his birth certificates.
The excellent online publication Gabonreview informs us of the presentation by Ali Bongo, of a birth certificate to meet the requirement of such a document in the settlement of the estate of the late Omar Bongo. What is not revealed however is the vintage of the birth certificate presented.
Is it the 2009 vintage, called Akagassa vintage, which was introduced in the file of his bid for the presidency in 2009 and which Ali Bongo himself has already confessed to have been a false document?
Is it the 2013 vintage, called Brazzaville’s vintage, which was pulled out of nowhere and presented on badly tampered paper? (picture above)
Is it the 2015 vintage, called the Nantes vintage, which is only a piece of "supermarket receipt" paper whose legitimacy cannot convince a toddler?
Is it that other birth certificate of undetermined vintage, but whose content is so full of contradictions that we already know that it's a fake?
Finally, is this a new vintage, which we could call "Rélongoué vintage"?
In a normal country, the honesty of a head of state is something serious and when the population catches a head of state in the fragrant act of lying, he pays dearly in the elections that follow. It is not in the interest of the young country that is Gabon to get used to fraudster as head of state; making forgery and its use an ordinary practice. Basically, in all countries of the world, it is recognized that dishonesty is inconsistent with the top leadership of the state. So why do they want to make the Gabonese people accept Ali Bongo multiple perjuries, whose course is marked by the many birth certificates with different vintages?
Version française
En langage viticole, dans le vocabulaire du parfait dégustateur (dont nous savons les émergents friands), le mot « millésime » est utilisé pour différencier les vins vendangés durant des années différentes. Un millésime 2009 aura donc été cultivé, récolté et vinifié en 2009.
Au Gabon, Ali Bongo a présenté à ce jour, 4 documents faisant office d’actes de naissance. Présentations faites à différentes années, ce qui nous permet de dire qu’il produit des actes de naissance comme d’autres produisent du vin. Nous pouvons donc parler de millésime pour ces actes de naissance.
L’excellente publication en ligne Gabonreview nous informe de la présentation par Ali Bongo, d’un acte de naissance répondant à l’exigence d’un tel document dans la succession du défunt Omar Bongo. Ce qui n’est pas révélé, par contre, est le millésime de l’acte de naissance présenté.
Est-ce le millésime 2009, dit cuvée Akagassa, qui fut introduit dans son dossier de candidature à la présidentielle 2009 et qu’Ali Bongo a lui-même déjà avoué avoir été un faux document ?
Est-ce le millésime 2013, dit cuvée de Brazzaville, qui fut sorti de nulle part et présenté sur du papier buvard mal trafiqué ? (Photo ci-dessus)
Est-ce le millésime 2015, dit cuvée de Nantes, qui n’est qu’un bout de papier « reçu de supermarché » dont la légitimité ne saurait convaincre un bambin ?
Est-ce ce autre acte de naissance au millésime indéterminé, mais dont le contenu est tellement bourré de contradictions que nous savons déjà que c’est un faux ?
Finalement, est-ce un nouveau millésime, que nous appellerons : « cuvée Rélongoué » ?
Dans un pays normal, l’honnêteté d’un chef d’État est quelque chose de sérieux et quand la population prend un chef d’Etat en flagrant délit de mensonge, cela se paie aux élections qui suivent. Il n’est pas dans l’intérêt du jeune pays qu’est le Gabon de s’accommoder d’un chef d’Etat faussaire, faisant du faux et usage de faux, une pratique banale. Fondamentalement, dans tous les pays du monde, il est reconnu que la malhonnêteté soit incompatible avec le leadership au sommet de l’Etat. Alors pourquoi faire accepter au peuple Gabonais les multiples parjures d’Ali Bongo dont le parcours est jalonné de nombreux actes de naissance aux différents millésimes ?
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