THEY WANT TO SERVE US ONCE MORE THE TRICK OF THE PACHYDERME MEAT. ILS VEULENT NOUS REFAIRE LE COUP DE LA VIANDE DE PACHYDERME

English translation

We will not give up!

Dear readers, remember a few years ago human remains were found hidden in bags in a school in Oloumi. A member of the scientific community who examined these remains even confirmed that the remains were human tissues.

Then, all of the sudden, the political authorities of the country simply told us that the remains were only pachyderm meat, to go on, because there was nothing to see. Since then, the case has been buried.

But this Sunday, a 4WD vehicle was stopped by the population, having on board several women who had probably been abducted and whose destination did not augur well. The video above shows that the population wanted to question the occupants of the vehicle, but the behavior of the police was rather ambiguous, preventing the population from asking the occupants questions and getting them out of dodge. The most serious thing is that the regime subsequently immediately issued a press release stating that these women were involved in a history of infidelity that went wrong.

Dear readers, this blog rejects the version of the regime because we know that the Gabonese authorities never investigate ritual crimes and are always eager to exonerate the guilty.

We will not give up!

Version française

Chers lecteurs, souvenez-vous il y a quelques années des restent humains avaient été retrouvés cachés dans des sacs dans un établissement scolaire d’Oloumi. Un membre de la communauté scientifique ayant examiné ces restes, avait même confirmé que les restes étaient des tissus humains.

Puis, patatras, les autorités politique du pays nous ont purement et simplement signifié que les restes n’étaient que de la viande de pachyderme, circulez, il n’y avait donc rien à voir. Depuis, l’affaire a été enterrée.

Mais voici que ce dimanche, un véhicule 4x4 a été stoppé par la population, ayant à son bord plusieurs femmes qui vraisemblablement avaient été enlevées et dont la destination n’augurait rien de bon. La vidéo ci-dessus nous montre que la population voulait elle-même interroger les occupants du véhicule, mais le comportement de la police a été plutôt équivoque, empêchant la population de poser des questions aux occupants et les tirant d’affaire. Le plus grave est que le régime a par la suite immédiatement fait publier un communiqué voulant que ces femmes aient été mêlé à une histoire d’infidélité qui a mal tournée.

Chers lecteurs, ce blog rejette la version du régime car nous savons que les autorités Gabonaise ne font jamais d’enquêtes sur les crimes rituels et s’empressent de toujours disculper les coupables.

Nous ne lâcherons rien !