GABON CANNOT HAVE A DIMINISHED PRESIDENT! LE GABON NE SAURAIT AVOIR UN PRÉSIDENT DIMINUÉ!
English version
Dear readers, the video of a faltering Ali
Bongo; unable to maintain his balance on the steps of the Elysée, came to
contradict all those who still felt that this man was better, and was able to
conduct the affairs of Gabon.
Dear readers, in all the countries of the
world, a head of state is the guarantor before the institutions and the
population of the political, economic and social cohesion of the country. This
is why in all countries, the health of Heads of State is often shrouded in
mystery and codified in the constitution by very explicit articles on the
possibilities, even temporary, of power vacuum.
A Head of State in full possession of their
physical and intellectual capabilities, necessarily projects the idea of unity,
solidity, good internal organization of society. Therefore, they give the
impression of being able at least to examine acutely and respond to the
expectations of the citizens in fields as diverse as: the economy, education,
employment, family, housing, health, cultural and sports activities, law etc.
On the other hand, a sick president
necessarily becomes an absent president, and this situation necessarily plunges
the country into uncertainty. When a president becomes invisible in his country
and among his populations, under the pretext that they are constantly the
subject of additional medical examinations, in Morocco or in England, it means
that they can in no way think and make decisions that impact the smooth running
of the country. This causes irreversible damage, because one can legitimately
ask: during these repeated never ending absences, who runs the country?
In the West, governance is based on strong
institutions that can operate on autopilot. In Gabon, governance is centralized
around the person of the president and their family. Therefore, if in the West,
the president's illness can have controlled consequences; in a country like
Gabon, the main consequence is that the country stops functioning normally and
we see all kinds of anachronisms as we had observed with the advent of Brice
Laccruche-Alihanga as de facto president for more than a year.
Dear readers, several sources have leaked
very credible information on the loss of "neurological" functions
that Ali Bongo would have suffered as a result of his stroke, and which would
make it impossible to recover his cognitive abilities in a very near future.
Dear readers, you can clearly imagine the consequences for Gabon.
What has just happened on the steps of the
Elysée simply confirms that Ali Bongo is greatly diminished, and that his
rehabilitation continues to occupy most of his time. Therefore, the only way
for Ali Bongo to continue to rule Gabon is to do so by proxy for the benefit of
his family and clan. This is an unacceptable situation, because Ali Bongo is
already illegitimate, thus his relatives ensuring the regency, are doubly so.
All this must stop.
Version française
Chers lecteurs, la vidéo d’un Ali Bongo chancelant ;
incapable de se maintenir tout seul à l’équilibre sur le perron de l’Elysée,
est venue confondre tout ceux qui estimait encore que ce monsieur se portait
mieux, et était à même de conduire les affaires du Gabon.
Chers lecteurs, dans tous les pays du monde, un
chef d’Etat est le garant devant les institutions et la population, de la cohésion
politique, économique et sociale, du pays. Voici pourquoi dans tous les pays,
la sante des Chefs d’Etat est souvent entourée de mystères et codifiée dans la
constitution par des articles très explicites sur les possibilités de vacances,
même temporaires, de pouvoir.
Un Chef d’Etat en pleine possession de ses
moyens physiques et intellectuels, projette forcement l’idée d’unité, de solidité,
de bonne organisation interne de la société. Par conséquent, il donne l’impression
de pouvoir au minimum examiner avec acuité et répondre aux attentent des administrés
dans des domaines aussi divers que : l’économie, l’éducation, l’emploi, la famille,
le logement, la santé, les activités culturelles et sportives, le droit etc.
A contrario, un président malade devient forcément
un président absent, et cette situation plonge obligatoirement le pays dans l’incertitude.
Quand un président devient invisible dans son pays et auprès de ses populations,
sous prétexte qu’il fasse en permanence l’objet d’examens supplémentaires, au
Maroc ou en Angleterre, c’est qu’il ne peut aucunement réfléchir et prendre des
décisions qui impactes la bonne marche du pays. Cela cause des dommages
irréversibles, car on peut se demander légitimement : pendant ces absences
répétées n’en finissent plus, qui dirige le pays ?
En occident, la gouvernance repose sur des
institutions solides qui peuvent opérer en autopilote. Au Gabon, la gouvernance
est centralisée autour de la personne du président et de sa famille. Par conséquent,
si en occident, la maladie du président peut avoir des conséquences maitrisées ;
dans un pays comme le Gabon, la conséquence principale est que le pays s’arrête
de fonctionner normalement et on voit toutes sortes d’anachronismes comme nous
l’avions observés avec l’avènement de Brice Laccruche-Alihanga comme de facto président
pendant plus d’un an.
Chers lecteurs, plusieurs sources ont laissé filtrer
des informations très crédibles sur des pertes de fonctions « neurologiques » qu’auraient
souffert Ali Bongo par suite de son AVC, et qui rendraient impossible la
reprise de ses capacités cognitives dans un délai très proche. Chers lecteurs,
vous imaginez clairement les conséquences sur le Gabon.
Ce qui vient de se produire sur le perron de
l’Elysée nous confirme simplement qu’Ali Bongo soit fortement diminué, et que
sa rééducation continue d’occuper le clair de son temps. Par conséquent, la
seule manière pour Ali Bongo de continuer de diriger le Gabon, est de le faire procuration
au profit de sa famille et de son clan. Voici une situation inacceptable, car
Ali Bongo étant déjà illégitime, ses proches assurant la régence, le sont
doublement. Tout ceci doit s’arrêter.
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