WHO REALLY RUNS GABON? QUI DIRIGE RÉELLEMENT LE GABON ?
English
version
Recently, audios emanating from the very
heart of the Bongo family, reporting Ali Bongo's physical and mental inability
to pretend to lead anything, were made public and since then, the Gabonese
government apparatus has been doing what it can to make us believe that Ali
Bongo is still at the helm. No, it's too late. We all know that Ali Bongo is no
more than a puppet in the hands of some people who actually run us behind the
scenes. The question here is who are these people? We need to unmask them. Yesterday it was Brice Fargeon; who is it
today?
As Ali Bongo is physically and mentally
unable to assume the presidency of Gabon, a consortium composed of several of
his relatives does so in his place. Ali Bongo is a bedridden president, sick,
inoperative, incapable of being of any practical use in the governance of
Gabon. In short, Gabon has a mummy at the head of the nation.
All attempts to put Ali Bongo back in the
saddle have ended in failure. Who does not remember this episode of an Ali
Bongo losing his balance on the steps of the Elysée, held at arm's length by Emmanuel
Macron. An image that sums up his dependance, literally and figuratively. Ali
Bongo cannot express himself without it being staged by pre-recorded speeches
and enhanced using corrective software. They cut here and attach there. He
cannot speak in public like any head of state; he cannot get up and go shake
hands, sign documents, answer questions spontaneously. Ali Bongo almost invites
pity, in the eyes of those who easily forget the monster that is this man.
So, who signs the decrees and takes the
decisions that are read in the Council of Ministers? Who governs in the name of
Ali Bongo if he is no longer even able to express his thoughts? We think that
around Ali Bongo, a very closed clan has been formed to hold the levers. His
wife and her minions, with Marie-Madeleine Mborantsuo as the centerpiece. These
people have their relays in the business circles and in the security forces;
the two main levers of the country.
Gabon, the country that has decriminalized
homosexuality, penalizes what peaceful citizens could share on social networks.
Obviously, the regency is not afraid of ridicule. The elucubrations about Ali
Bongo's supposed activities could seem more credible, if he decided to engage
in the public exercise of press conference, with credible journalists. But no,
the jokesters in the service of the regency do not even realize the obviousness
of their lie when on the one hand they tell us that Ali Bongo is in good shape,
and on the other the officials who visit him always give press briefings alone,
after these visits. Why do they hide Ali Bongo's super fitness
?
Gabon wanders today like a drifting boat
that moves at the whims of the furious waves generated by a heavy social and
political malaise; by an economic bankruptcy never seen in the history of the
country; coupled with a necessity of a power vacuum that is slow to be announced.
There is obviously no one at the helm; the regency hallucinates because it
thinks it can contain the Gabonese people, and inconsistencies follow inconsistencies.
The regency is in power. But the problem
is that this regency is composed of dunces and it is the people who pay the
consequences!
Version française
Récemment, des audios émanant du cœur même de la
famille Bongo, faisant état de l’incapacité physique et mentale d’Ali Bongo de prétendre
diriger quoique ce soit, ont été rendus publics et depuis, l’appareil
gouvernemental Gabonais fait ce qu’il peut pour nous faire croire qu’Ali Bongo
soit toujours au gouvernail. Non, il est trop tard. Nous savons tous qu’Ali
Bongo n’est plus qu’un pantin entre les mains de certaines personnes qui en
fait nous dirigent sous cape. La question ici est de savoir qui sont ces gens ?
Nous devons les démasquer. Hier c’était Brice Fargeon ; aujourd’hui c’est
qui ?
Ali Bongo étant dans l'incapacité physique et
mentale d'assurer la présidence du Gabon, un consortium composé de plusieurs de
ses proches le fait à sa place. Ali Bongo est un président alité, malade, inopérant,
incapable d’être d’aucune utilité pratique dans la gouvernance du Gabon. En résumé,
le Gabon a une momie à la tête de la nation.
Toutes les tentatives de remettre Ali Bongo en
selle, se sont soldées par des échecs. Qui ne se souvient pas de cet épisode d’un
Ali Bongo perdant l’équilibre sur le perron de l’Elysée, tenu à bout de bras
par Emmanuel Macron. Une image qui résume la dépendance, au sens propre comme
au figuré. Ali Bongo ne peut pas s'exprimer sans que cela ne soit mis en scène
par des discours pré-enregistrés et corrigés à l’aide de logiciels correcteurs.
On coupe ici et ont rattache là. Il ne peut parler en public comme tout chef d’Etat ;
il ne peut se lever et aller serrer des mains, signer des documents, répondre spontanément
à des questions. Ali Bongo faite presque pitié, aux yeux de ceux qui oublient
facilement le monstre qu’est cet homme.
Alors, qui signe les décrets et prend les décisions
qui sont lues en conseil des ministres ? Qui donc gouverne au nom d’Ali
Bongo si ce dernier n’est même plus capable d’exprimer sa pensée ? Nous pensons
qu’autour d’Ali Bongo, un clan très fermé s'est constitué pour tenir les
leviers. Son épouse et ses obligés, avec comme pièce maitresse Marie-Madeleine
Mborantsuo. Ces gens ont leur relais dans le patronat et dans les forces de sécurité ;
les deux principaux leviers du pays.
Le Gabon, ce pays qui a dépénalisé l’homosexualité,
pénalise par contre ce que de paisible citoyens pourraient se partager sur les réseaux
sociaux. Visiblement, la régence ne craint pas le ridicule. Les élucubrations sur
les supposées activités d’Ali Bongo pourraient paraître plus crédible, s’il décidait
de se livrer en public a l’exercice de la conférence de presse, avec des
journalistes au-dessus de tout soupçon. Mais non, les plumitifs au service de
la régence ne se rendent même pas de l’évidence de leur mensonge quand côté
cour ils nous disent qu’Ali Bongo pête la forme, et côté jardin les officiels qui
lui rendent visite font toujours des points de presse tout seuls, après ces
visites. Pourquoi cache-t-on la super forme d’Ali Bongo ?
Le Gabon erre aujourd’hui tel un bateau ivre qui se
meut au gré des vagues furieuses engendrées par un malaise social et politique pesant ;
par une faillite économique jamais vue dans l’histoire du pays ; doublée
d’une nécessité de vacance de pouvoir qui tarde à être prononcée. Il n’y a
visiblement personne pour tenir la barre ; la régence hallucine car elle
pense pouvoir contenir les Gabonais, et les incohérences se succèdent.
La régence est au pouvoir. Mais le problème est que cette régence est composé
de cancres et c’est le peuple qui en paie les conséquences !
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