DANIELLA ANGUE'S DEATH CAN BE CONSIDERED AS A STATE MURDER! LA MORT DE DANIELLA ANGUE PEUT ÊTRE CONSIDÉRÉE COMME UN MEURTRE D’ÉTAT!

 

 

English version

 

The Gabonese State  has a very low rate of social security coverage. CNAMGS has only a modest impact in the lives of the needy. For example, if you don't get paid, you usually have no recourse to feed yourself and financially take care of basic necessities such as health care.

 

Dear readers, the fact is that the Gabonese State had appointed our compatriot Daniella Angue, to the countryside, without paying her a salary for 2 years. How did the Gabonese state imagine that this compatriot provided for her most basic needs, without income? By depriving Daniella Angue of her salary, the Gabonese state killed her; it is a state murder!

 

Daniella Angue, however, did not ask for the welfare state; she simply asked for her due, to use for medical treatment. But even this minimum, the regime in place refused to her. The Gabonese state is therefore murderously impoverishing its own population. This is intolerable!

 

Unemployment is already a calamity; but if in addition even those who work are not paid, we find ourselves in a situation of banditry because all work deserves pay, as goes the saying. When you work without pay, it's called slavery and we all know that slavery is illegal.

 

The Gabonese state killed Daniella Angue, and the Gabonese state must pay for that, severely!

 

 

 

 

 

Version française

 

L’Etat Gabonais a un très faible taux de couverture sociale. La CNAMGS n’a qu’un impact modeste dans la vie des couches nécessiteuses. Par exemple, si vous n’êtes pas payé, vous n’avez généralement aucun recours pour vous nourrir et vous occuper financièrement des besoins de première nécessité comme les soins de santé.

 

Chers lecteurs, le fait est que l’Etat Gabonais ait affecté notre compatriote Daniella Angue, à l’intérieur du pays, sans lui verser son salaire pendant 2 ans. Comment l’Etat Gabonais imaginait que cette compatriote subvenait à ses besoins les plus primaires, sans revenus ? En privant Daniella Angue de salaire, l’Etat Gabonais l’a tué ; c’est un meurtre d’Etat!

 

Daniella Angue ne demandait pourtant pas l’Etat providence ; elle demandait simplement son dû, pour se faire soigner. Mais même ce minimum, le régime en place le lui a refusé. L’Etat gabonais paupérise donc meurtrièrement sa propre population. Cela est intolérable !

 

Le chômage est déjà une calamité ; mais si en plus même ceux qui travaillent ne sont pas payés, on se retrouve en situation de banditisme car tout travail mérite salaire, nous dit l’adage. Quand on travaille sans être payé, cela s’appelle de l’esclavage et nous savons tous que l’esclavage est illégal.

 

L’Etat Gabonais a tué Daniella Angue, et l’Etat Gabonais doit le payer sévèrement !