THE REAL SCANDAL IS THE WAY PUBLIC MONEY IS MANAGED IN GABON! LE VRAI SCANDALE C’EST LA FAÇON DONT L’ARGENT PUBLIC EST MANAGÉ AU GABON !
An important aspect of good governance by any government, is the
administration of public finance.
In every economy
the world over,
one of the objectives of
government financial administration is the
facilitation of efficiency and effectiveness in the use of public funds. The
aim is to ensure
that government scarce
financial resources are optimally utilized such
that the welfare
of the citizenry is
catered for, and
their living conditions
are enhanced in line
with international standards. The government must do everything to
tame the tide of financial
recklessness and waste
often occasioned by financial
impropriety- which is very
much encouraged in Gabon from top to the bottom of the state apparatus.
Public money is meant for public
expenditure and investment purposes. In
order to achieve
effectiveness and efficiency
in the management of
public finance, accountability
and transparency are vital tools in monitoring
over the collection, custody and
use of
public funds.
The embezzlement trials taking
place currently in Gabon, have proven that the government lacks effective
control over its
cash resources. Money can leave the public treasury and end in private
accounts, without any system to tack these transactions. This drains the
country of vital resources that should be use for the public good. However,
this money is used by the Bongos to maintain their ridiculously dispendious
lifestyles.
The government has broad
fiduciary duty to carry out their responsibilities in a manner that is faithful
to the public trust that has been reposed in them. Toward this end, as stewards
of the public trust, public officials have a duty to avoid even the appearance
of impropriety. That is to say, even if a particular course of conduct does not
meet all of the elements necessary to constitute a violation of law or embezzlement,
it nevertheless may be unethical if it creates the perception of wrongdoing
that will harm the public trust.
Gabon is not the Bongos
property; we must remind them of that!
Version française
Un aspect important de bonne
gouvernance par tout gouvernement est l’administration des finances
publiques. Dans toutes les économies du
monde entier, l’un des objectifs de l’administration financière publique, est
de faciliter l’efficience et l’efficacité dans l’utilisation des fonds publics.
L’objectif est de veiller à ce que les ressources financières limitées du
gouvernement soient utilisées de manière optimale afin que le bien-être des
citoyens soit pris en compte et que leurs conditions de vie soient améliorées
conformément aux normes internationales. Le gouvernement doit tout faire pour empêcher
la marée d’irresponsabilité financière et de gaspillage souvent occasionnée par
des irrégularités financières – qui sont très encouragées au Gabon de haut en
bas de l’appareil d’État.
L’argent public est
destiné aux dépenses publiques et à des fins d’investissement. Afin d’atteindre
l’efficacité et l’efficience dans la gestion des finances publiques, la
responsabilité et la transparence sont des outils essentiels pour surveiller la
collecte, la garde et l’utilisation de ces fonds.
Les procès de
détournement de fonds qui se déroulent actuellement au Gabon ont prouvé que le
gouvernement n’a pas de contrôle effectif sur ses liquidités. L’argent peut
quitter le trésor public et finir dans des comptes privés, sans aucun système de
vérification pour ces transactions. Cela draine le pays de ressources vitales
qui devraient être utilisées pour le bien public. Cependant, cet argent est
utilisé par les Bongos pour maintenir leur train de vie ridiculement dispendieux.
Le gouvernement a
l’obligation fiduciaire générale de s’acquitter de ses responsabilités d’une
manière fidèle à la confiance du public qui lui a été accordée. À cette fin, en
tant qu’intendants de la confiance du public, les fonctionnaires ont le devoir d’éviter
même l’apparence d’irrégularité. C’est-à-dire que même si une conduite
particulière ne répond pas à tous les critères nécessaires pour constituer une
violation de la loi ou un détournement de fonds, elle peut néanmoins être
contraire à l’éthique si elle crée la perception d’actes répréhensibles qui
nuiront à la confiance du public.
Le Gabon n’est pas la
propriété des Bongo ; il faut le leur rappeler !
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