RESEARCHERS SCIENTIFICALLY DEMONSTRATE THAT HAIR RELAXERS CAN CAUSE CANCER! DES CHERCHEURS DÉMONTRENT SCIENTIFIQUEMENT QUE LES PRODUITS DÉFRISANTS DES CHEVEUX PEUVENT CAUSER DES CANCERS !
English version
Scientists are uncovering new details in the connection between
using certain hair straightening products, such as chemical relaxers and
pressing products, and an increased risk of cancer in women.
The study, published Monday in the Journal of the National
Cancer Institute, in the USA, suggested that hair straightening chemicals are
associated with an increased risk of certain hormone-related cancers, including
breast and ovarian cancers, and now, a new study links use of hair
straightening products with an increased risk of uterine cancer. Black women
may be more affected due to higher use of the products, the researchers noted.
The study estimated that by age 70, women who were frequent
users of hair straighteners would be 4 times more likely to develop uterine
cancer than those who never use such chemicals.
The data comes from a large research project led by the National
Institute of Environmental Health Sciences, which is part of NIH in the USA.
The project collects medical records and lifestyle surveys from tens of
thousands of women ages 35 to 74, all of whom are sisters to women with cancer
but did not have cancer themselves, in an effort to identify risk factors for cancer
and other diseases. The study found that the use of hair straightener was a
major correlator with cancer, between sisters where one had cancer and the
other did not.
The study did not ask participants to report particular brands of
such products. Other hair products, like hair dyes, highlights and perms, did
not have the same link to uterine cancer, researchers said.
Black women develop uterine cancer at higher
rates than women of other races, according to the USA National Cancer
Institute. Black women, too, face intense societal pressure about their hair. Because
Black women use hair straightening or relaxer products more frequently and tend
to initiate use at earlier ages than other races and ethnicities, these
findings are even more relevant for them.
Ladies, please be mindful of your consumer choices, it could be
a matter of life and death.
Version française
Des chercheurs ont découvert
de nouveaux détails sur le lien entre l’utilisation de certains produits de
lissage des cheveux, tels que les défrisants chimiques et les produits de
pressage, et un risque accru de cancer chez les femmes.
L’étude, publiée lundi
dans le Journal of the National Cancer Institute, aux États-Unis, suggère que
les produits chimiques de défrisage des cheveux sont associés à un risque accru
de certains cancers liés aux hormones, y compris les cancers du sein et des ovaires,
et maintenant, une nouvelle étude lie l’utilisation de produits de défrisage
des cheveux à un risque accru de cancer de l’utérus. Les femmes noires sont
plus touchées en raison de l’utilisation accrue de ces produits, ont noté les
chercheurs.
L’étude a estimé qu’à
l’âge de 70 ans, les femmes qui utilisaient fréquemment des défrisants seraient
4 fois plus susceptibles de développer un cancer de l’utérus que celles qui
n’utilisaient jamais de tels produits chimiques.
Les données proviennent
d’un vaste projet de recherche dirigé par le National Institute of
Environmental Health Sciences, qui fait partie du NIH aux États-Unis. Le projet
recueille des dossiers médicaux et des enquêtes sur le mode de vie de dizaines
de milliers de femmes âgées de 35 à 74 ans, qui sont toutes sœurs de femmes
atteintes de cancer, mais qui n’ont pas elles-mêmes eu de cancer, dans le but
d’identifier les facteurs de risque de cancer et d’autres maladies. L’étude a
révélé que l’utilisation de défrisants était un corrélateur majeur avec le
cancer, entre les sœurs dont l’une avait eu le cancer et l’autre non.
L’étude n’a pas demandé
aux participants de déclarer les marques particulières de ces produits.
D’autres produits capillaires, comme les teintures capillaires, les colorants
et les permanentes, n’ont pas le même lien avec le cancer de l’utérus, ont
déclaré les chercheurs.
Les femmes noires
développent le cancer de l’utérus à des taux plus élevés que les femmes
d’autres groupes, selon le National Cancer Institute des États-Unis. Les femmes
noires, aussi, font face à une pression sociétale intense sur leurs cheveux.
Parce que les femmes noires utilisent des produits de lissage ou de défrisage
plus fréquemment et ont tendance à commencer à les utiliser à un âge plus
précoce que les autres groupes et ethnies, ces résultats sont encore plus
pertinents pour elles.
Mesdames, soyez
conscientes de vos choix de consommation, cela pourrait être une question de
vie ou de mort.
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