HERE IS THE EVIDENCE OF THE OUTRAGEOUS NEGLIGENCE OF THE GABONESE STATE! VOICI L’ÉVIDENCE DE L’OUTRANCIÈRE NÉGLIGENCE DE L’ÉTAT GABONAIS !

 

 

 

English version

 

The road above is the one that leads to a settlement called Cap Caravane, which is a place of pleasure at the edge of one of the inlets in Akanda, north of Libreville.

 

This road is not maintained and is now impassable, which hinders traffic and therefore prevents the customers of Cap Caravane from going to this place, sewing a considerable loss of income to the operators of this site. The negligence of the public authorities has a direct negative impact on economic activity in Cap Caravane.

 

The lack of maintenance and the deterioration of our roads, not only cause serious accidents, but also destroy users' cars; causing them additional expenses.

 

In a country, roads are necessarily an infallible indicator of development. When the majority of roads are not passable in all seasons, it cannot be said that the country is on the right track.

 

Like education, health and safety, the field of road infrastructure, i.e. that of bridges and roads, must be distinguished by the permanent involvement of the authorities. The existence of other problems and difficulties should not prevent the maintenance of roads. A country may have all the necessary means for its development, but as long as there is no adequate road infrastructure to serve the country, this development will be compromised.

 

The poor state of the roads inevitably slows down economic activity; this in turn results in fewer goods being transported to points of sale. This causes for the populations, the scarcity of consumer products in the points of sale. The slowdown in commercial activity thus provokes aggravated unemployment, which itself creates discontent among the population.

 

So goes Gabon!

 

 

 

 

Version française

 

La route ci-dessus est celle qui mène à un établissement appelé Cap Caravane, qui est un lieu de plaisance au bord d’un des bras de mer à Akanda au nord de Libreville.

 

Cette route n’est pas entretenue et est désormais impraticable, ce qui entrave la circulation et donc empêche la clientèle du Cap Caravane d’aller vers ce lieu, cousant un manque à gagner considérable aux operateurs de ce site. La négligence des pouvoirs publics a ici un impact négatif direct sur l’activité économique au Cap Caravane.

 

Le manque d’entretien et la dégradation de nos routes, provoquent non seulement des accidents graves, mais détruit également les automobiles des usagers ; leur causant des dépenses supplémentaires.

 

Dans un pays, les routes sont forcément un indice infaillible de développement. Quand la majorité des routes ne sont pas praticables en toutes saisons, on ne peut pas dire que le pays est sur la bonne voie.

 

Comme l’éducation, la santé et la sécurité, le domaine des infrastructures routières, c’est dire celui des ponts et chaussées, doit se démarquer par l’implication permanente des autorités. L’existence des autres problèmes et difficultés ne doit pas empêcher l’entretien des routes. Un pays a beau avoir tous les moyens nécessaires pour son développement, tant qu’il n’y a pas d’infrastructures routières adéquates pour la desserte du pays, ce développement sera compromis.

 

Le mauvais état des routes ralenti forcément l’activité économique ; ce qui par ricochet fait que moins de marchandises soient acheminées vers les points de vente. Ce qui provoque pour les populations, la rareté des produits de consommations dans les points de vente. Le ralentissement de l’activité commerciale ainsi provoqué, aggrave le chômage qui lui-même crée le mécontentement des populations.

 

Ainsi va le Gabon !