GABON, A COUNTRY ADRIFT! LE GABON, UN PAYS À LA DÉRIVE !
English version
Gabon has been
ruled since 1967 by people who impoverish it. This state of affairs has led the
country adrift, a situation in which it finds itself today.
If the people who
run Gabon had some skills, they would never accept that their country sinks
into irrelevance and ridicule. The Gabonese do not accept either that the
regime has not only relieved them of their dreams, but that it resolutely
squats their mind, their conscience, and gives them the feeling that everything
is locked, that the battle for their freedom is lost.
The state press
in Gabon is full of lies, it is committed to the regime, and believes that
Gabonese are immature and soft.
It's not just Ali
Bongo who is sick; It's the whole regime that is autistic and suffering. The Power
is cornered, it no longer has ideas. It doesn't have an ounce of ethics. It's
just a cartel. The mafia is in power in Gabon. There is no room for optimism; if
this regime continues, we are screwed.
The dream of the
Gabonese people to build a democratic and prosperous state has turned into a
nightmare that has lasted for more than half a century. The race for power is
played out in Gabon outside democratic frameworks and it generates sterile and
devastating conflicts for the country, its potential and its sovereignty; and
this makes state institutions hostage to rival clans. Hence the immobility we
observe!
The presidential
election should be the vehicle through which the long-awaited national consensus
is achieved. But in Gabon it is just the opportunity to repeat the failure by
renewing the Bongos.
Version française
Le Gabon est dirigé depuis 1967 par des gens qui l'appauvrisse. Cet état de
fait a conduit le pays à la dérive dans laquelle il se trouve aujourd’hui.
Si les gens qui dirigent le Gabon avaient quelques compétences, ils n'accepteraient
jamais que leur pays sombre ainsi dans l'insignifiance et le ridicule. Les
Gabonais eux, ne supportent pas non plus que le régime ne les ait pas seulement
délestés de leurs rêves, mais qu’il squatte résolument leur esprit, leur
conscience, et leur donne le sentiment que tout est verrouillé, que la bataille
pour leur liberté est perdue.
La presse d’Etat au Gabon est mensongère, acquise au régime, et qui croit
que les Gabonais sont immatures et malléables.
Ce n’est pas seulement Ali Bongo qui est malade ; c’est régime tout
entier est autiste et souffrant. Le pouvoir est aux abois, il n'a plus
d'atouts. Il n'a pas une once d'éthique. C'est juste un cartel. La mafia est au
pouvoir au Gabon. Rien ne prête à l’optimisme ; si ce régime continu, nous
sommes foutus.
Le rêve du peuple Gabonais de construire une Etat démocratique et prospère,
s’est transformé en cauchemar qui dure depuis plus d’un demi-siècle. La course
au pouvoir se joue au Gabon en dehors des cadres démocratiques et elle engendre
des conflits stériles et dévastateurs pour le pays, ses potentialités et sa
souveraineté ; et ceci rend les institutions de l’Etat otages des clans
rivaux. D’où l’immobilisme que nous observons !
L’élection présidentielle devrait être le véhicule par lequel le consensus
national tant souhaité est réalisé. Mais au Gabon c’est juste l’occasion pour
rééditer l’échec en reconduisant les Bongo.
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