A SHAME THAT SYMBOLIZES THE DECADENCE OF GABON! UNE HONTE QUI SYMBOLISE LA DÉCADENCE DU GABON!
English version
Léon
Mba must be turning in his coffin. When he died in 1967, at the age of 65, he
left the country in good health on all points and even on the political one.
The Gabonese citizen was honest and of irreproachable probity; Our families
were intact.
In
the Gabon left by Leon Mba, the severing of family ties and that parental’s
wishes were stages that inevitably put you on the road to evil. In this Gabon,
no one would have admitted the Leon Mba;s residence ended up in Lebanese’s
hands
But
this Gabon is now behind us. Anything goes these days. It should be noted that
it was under Brice-Clotaire Oligui-Nguema, under the regime of the one who
promised to restore the dignity of the Gabonese people, that the Lebanese
bought the main residence of the late President Leon Mba. But what a shame!
At
a time when, by reciprocity, the Senegalese government has just forbidden
Lebanese women to give birth in Senegal, since African women are forbidden to
do the same in Lebanon; in Gabon, Lebanese merchants have just bought the
residence of the late Leon Mba, to set up what there? a store where they will
sell us the usual junk. There is nothing sacred in Gabon anymore.
Certainly,
the members of the Leon Mba family are free to dispose of their father's
property as they see fit; but one would have expected that it would be the
Gabonese State that bought this property to turn it into a museum; a place of
preservation of the memory of the man that was Leon Mba. This is how things
would have happened in a serious country.
Dear
readers, individual freedom becomes bad when it leads to irresponsibility and
evil. We have here a symbol of the moral decrepitude of Gabon and of the
Gabonese. Nothing is sacred anymore. Everything is redeemable for cash.
Version française
Leon Mba doit se retourner dans son linceul. Quand
il mourut en 1967, a l’âge de 65 ans, il laissa le pays en bonne sante sur tous
les points et même sur le point politique. Le Gabonais était honnête et d’une probité
irréprochable ; nos familles étaient intactes.
Dans le Gabon que laissa Leon Mba, la rupture
des liens familiaux et celle des volontés de ses parents étaient des étapes qui
vous mettaient inévitablement sur la route du mal. Dans ce Gabon la, personne n’aurait
admis que la residence de Leon Mba tombe entre les mains des Libanais.
Mais ce Gabon-là est désormais derrière nous.
Tout y est permis désormais. Retenons que c’est sous Brice-Clotaire
Oligui-Nguema, sous le régime de celui qui a promis venir rétablir la dignité
des Gabonais, que des Libanais ont racheté la résidence principale de feu le Président
Leon Mba. Mais quelle honte !
Au moment où, par réciprocité, le
gouvernement Sénégalais vient d’interdire aux femmes Libanaises d’accoucher au Sénégal,
vu qu’il soit interdit aux Africaines de faire de même au Liban ; au Gabon
des commerçant Libanais viennent d’acheter la résidence de feu Leon Mba, pour y
installer quoi ? un magasin où ils nous vendront la camelote habituelle.
Il n’y a plus rien de sacré au Gabon.
Certes les membres de la famille Leon Mba
sont libres de disposer des biens de leur père comme ils l’entendent ;
mais on se serait attendu à ce que ce soit l’Etat Gabonais qui rachète cette propriété
pour en faire un musée ; un endroit de conservation de la mémoire de l’homme
que fut Leon Mba. C’est ainsi que les choses se seraient passées dans un pays sérieux.
Chers lecteurs, la liberté individuelle
devient mauvaise quand elle conduit à l’irresponsabilité et au mal. Nous avons
la une symbolique de la décrépitude morale du Gabon et des Gabonais. Plus rien
n’est sacré. Tout est monnayable.
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